Chronique de la 13e sortie de la saison 25.
BM du jour 14:21
Mon équipage : Sam et ses enfants, Celia et Evan. Sam est un ami et collègue entrepreneur créatif, généreux et sérieux bien que toulousaing. Je l’ai recruté à l’arrache 2 jours plus tôt pour cette marée.
Embarquement à 10:00, départ avec vent trop faible pour voiler. Moteur. Cap sur la côte en face. Avec le descendant, on dérape comme il faut et peu après les bancs de sable, on touche du vent. D’abord Evan, puis Celia à la barre jusqu’au Pyla. Le vent de S-SW et le jus nous portent vite dans la passe sud. On rase la plage de la dune quelques fois en tirant de larges bords.
Nord-sud et c’est tout
Le bateau a passé la nuit, et toute la matinée à basse mer, devant le club nautique.
Iboga échoué devant le « campement » Lalesque (voir la chronique de la veille)
dit aussi « Villa Sylvosa », en attendant le flot
Mentawaï, un Jouët testerin bien restauré
Jean-Marc m’envoie le roman-photo de la restauration de son Jouët 680 Mentawaï, précédemment Foehn.
Mentawaï, précise-t-il, signifie « île aux fleurs » en indonésien, « c’est mon premier bateau et un rêve qui se réalise enfin ! »
Acquis en 2014 au chantier naval de Claouey, il sera désormais abrité au port de La Teste.
À sa première sortie, il manque de démâter : étai rompu ! Heureusement que l’enrouleur prévient la chute… Les premiers travaux vont donc consister, expose-t-il, à remettre en état l’accastillage, qui a souffert avec le temps et à personnaliser à son goût l’intérieur de l’habitacle et s’occuper de la coque.
Kite à Afrique et mauriciennes à bord
Marie-Alice, la fille de ma cousine mauricienne, et sa camarade d’école, sont de passage dans le campement familial de Claouey. Campement, c’est comme ça qu’on appelle une villa en front de mer à Maurice.
Arguin à 3, moins 1
Ce dimanche, le 2 mai et la 10e sortie de la saison, l’Iboga embarque les résidents du Chalet de Claouey : Liza et Pascal. Liza, inconditionnelle des sorties sur l’Iboga et Pascal qui a une idée en tête puisqu’il emporte son nouveau flotteur de planche à voile, avec la 7,30.
Où les sternes et le kitesurf font bon ménage
Le projet du jour, c’est d’employer l’Iboga comme navette, et base flottante, entre le Ferret et les bancs de sable entre la pointe et le Pyla, parfaitement exposés pour une session d’entrainement au kitesurf.
Il est un peu moins de midi quand nous embarquons.
Le courant nous amène très rapidement au spot. Il est encore un peu tôt : le thermique n’est pas démarré. C’est le moment du casse croûte à bord, tandis que sur le banc en train d’émerger sous le vent duquel lequel nous avons jeté l’ancre, un vol de Sterna sandvicensis s’est réuni avant la chasse au petit poisson qui fait son ordinaire.
Ils refusent de laisser mourir le plus vieil aquarium au monde
Ils sont tenaces, méthodiques, motivés… Ils ne lâchent pas le morceau. Qui ? Les arcachonnais farouchement déterminés à sauver le Musée Aquarium d’Arcachon. Fédérés au sein du « Collectif Populaire de Défense des Aquaria Convoités (CPDAC) » Ils anoncent leur mission ainsi Continue reading
PM et sports de glisse à l’île
Élie m’accompagne pour mettre en route le bateau tandis que Pascal prépare du matos de glisse et que Liza fait les fonds de frigo pour trouver 4 bières. On quitte le mouillage sous voiles. On est à PM -2. Vent de NE qui va tourner NW en forcissant un peu. Avec le montant, cap sur le Grand banc. Le jus, coef 70 nous amène parfaitement à l’entrée de l’esteu d’Afrique juste au moment où le vent a basculé, nous permettant de pénétrer dans l’escoure du sud de l’île, puis remonter après 2 virements de bord, jusqu’à la pointe NW de l’île. Devant la « cabane de lous vacanceyres ».
Pony, un Jouët 680 sur la Mare Nostrum
Alain me contacte pour me signaler son « Pony ». Les Jouët 680 ne sont pas très nombreux sur la Mare Nostrum, je lui demande des détails, annecdotes, la vie du bateau… Voici son portrait :
Pony un Jouët 680 en Méditerranée
Deuxième retour au corps mort
Hier à la marée basse d’après midi, je suis venu au Ferret en voiture installer mon nouveau corps mort. Comme j’avais le choix et la place, laissée vacante par tous les corps morts disparus cet hiver, j’ai choisi exactement le même emplacement que l’an dernier et les 20 années précédentes : dans l’axe de la rue des cormorans qui arrive en impasse sur la plage. Seul le n° change : fini 3C07, salut 3A08 !