Il semble qu’Hélène n’a pas été écoeurée par l’Iboga dimanche dernier puisque en ce beau samedi de fin de saison, elle a renoncé à une promenade à bicyclette dans les Graves en contrepartie d’une après-midi sur l’eau.
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Dimanche 21 octobre 2001 : Rater un train sur le Bassin ?
Sept semaines sans naviguer sur l’Iboga ! Le nouveau safran jamais essayé… Frustré du week-end précédent, qui n’avait jamais vu se réaliser l’Avis de Tempête à cause duquel j’avais renoncé à voiler. Météo prise de la veille : fin des précipitations à partir de 12:00, arrivée du soleil dans le courant de l’après-midi et vents force 6 secteur sud-ouest au large, allant en faiblissant. Aujourd’hui, le skipper prend ses responsabilités en décidant de sortir quand-même.
Dimanche 2 septembre 2001 : Bernet
Julie, Alice, Marie, Marcelo, Patrick. Spi entre Claouey et Grand-Piquey. Basse mer et début du montant au banc de Bernet, pique-nique, café, baignade, sieste. Teychan , Mapoutchet, traversé de la matte jusqu’à Hautebelle (plus rapide que de remonter le chenal de l’île à contre courant en tirant de nombreux bords ; mais nécessite une marée assez haute). arrivée en pleine régate de pinasses des Festivoiles de Claouey. Arrivée à la plage. Montage du nouveau safran.
Mercredi 15 août 2001 : tour des hauts sous orage
J’ai fait de la voile seul ce mercredi des fêtes de la mer, entre pétole sous soleil de plomb et rafales sous grains orageux. Je n’en menais pas large sous les éclairs ! Au loin, Arcachon sous de violentes averses… Un joli tour dans les hauts du Bassin, à part ça : traversée, au moteur puis voile, des « argiles » jusqu’au chenal de l’Ile ; remontée sous spi (pour essayer mes nouveaux bras de spi en spectra et poulies de renvoi Harken, récup’ du Melges de Vincent) jusqu’au large d’Andernos par Girouasse, puis Moutchalette ; vers Lorbègue, rentré le spinaker (devenu intenable avec les sautes de vent et passage au nord-nord ouest), cap au 330 vers Arès via la belle plage aux cygnes de Sant-Brice, barre amarée, le bateau se gouverne seul ; fuite devant l’orage et gestion de la dérive qui a tendance à toucher souvent sur les hauts-fonds : la marée a commencé à descendre ; l’orage ratrape l’Iboga au large d’Arès. Je capelle le ciré et fais cap sur Jane de Boy, au nord de Claouey. Puis, de retour au corps mort, rangement du bateau et sieste en attendant que la pluie cesse.
Dimanche 12 août 2001 : mieux que l’UCPA !
Ce WE, Valérie est descendue exprès de Paris pour faire un tour sur l’Iboga. Un véritable début de journée de vacancier : petit tour du marché de La Teste, en fin de matinée, avec l’inévitable et essentiel café, à la terasse du café d’Eric, pour prendre les véritables nouvelles (pas celles que l’on lit dans Sud-Ouest ; par exemple : qui a relaté la disparition du safran de Denis alors qu’il était mouillé dans le delta de la Leyre dimanche 5 août ?) ; l’avitaillement fait, on prend le chemin vers Claouey par la route. A bord de la Volvo : Valérie, Partick et l’excellent David, qui ont lié destin avec l’Iboga pour la journée.
Dimanche 5 août 2001 : ludique
Grande conversation entre Ludo et « le Fol »
Dimanche 29 juillet 2001 : fruits de mer
Je me suis régalé sur l’eau ce dimanche : 15 à 20 nds de vent ouest-nord-ouest et courant faible avec un coëf de marée dans les 56. Grand soleil. Un petit couple d’équipiers débutants mais qui cherche à comprendre : Christophe et Emma.
Dimanche 15 juillet 2001 : gymkhana
Midi dimanche, après un samedi très pluvieux, frais, et bordelais, le temps s’est mis au variable avec nuages menaçants et éclaircies. Du vent, assez pour voiler. De l’eau, c’est marée haute à 13h21, petit coëf de 40 : le courant, même de face, ne sera pas violent. Je débarque à Claouey, recrute une équipière – Mathilde – sur la plage et c’est parti pour un tour de l’île par l’ouest.
Samedi 7 au dimanche 8 juillet 2001 : les 18h d’Arcachon !!!
Charte graphique
Dimanche 1er juillet 2001 : sailing cocker
Le RV a été donné la veille : « surtout, vous partez dès que possible, avant 10h00 parce qu’après, vous allez vous retrouver dans le tas et je ne réponds de rien sur la taille de l’embouteillage ni sur la hauteur de marée. Bien simple : si vous n’êtes pas là à 11h, je dégage. » Je ne vais pas me gâcher la marée pour 2 bordelais inconséquents ! Ca ne rate pas : ils veulent trop bien faire. En particulier les courses avant de partir. Circonstance atténuante a priori : mes deux crêpiers du jour se sont engagés à prendre Patrick en charge pour la route. Midi : les voilà. Certes, le menu du pique-nique est à la hauteur des 2 heures d’embouteillages dont ils sortent… Juste assez d’eau pour partir. Autant y aller puisqu’ils sont arrivés.