Tour de l’île fédéralo-amical et trophée à Mios

Trace 680 connexion 23 septembre 2007

Trace 680 connexion 23 septembre 2007
Légende des couleurs :
– jaune : très très lent (moins de 2 nds)
– vert : très lent
– bleu clair : lent
– bleu foncé : vitesse décente pour l’Iboga (env. 5 nds)
– violet : moteur + courant (plus de 6 nds)

Avant la course

Trait bleu Ferret – intérieur du port d’Arcachon : convoyage aller au moteur puis voiles, avec Eric.

Trait carré port d’Arcachon : se rendre sur la ligne / entraînement de l’équipage

La course

Tricot devant Arcachon : ne pas traverser le chenal, éviter les innombrables barques de pécheurs à la dérive, quelques échanges de point de vue…

Fin du tricot : pourtant, nous traversons…

Crochet au sud : passer la verte n° 15. Episode où Yves Mareschal, architecte naval du chantier Jouët (mais non du 680) nous met le vent (le peu de vent) en vrac avec les grandes voiles de son Jouët 32. Grrrr… 2 places perdues.

2e crochet : passer en tête la rouge n° 14

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Entre parcs et Mimbeau

Il est bien gentil le journaliste de Voiles et Voiliers, de dire que je "sillonne le Bassin avec mon Jouët 680 Iboga". Mais, là, ce n’est pas un sillon bien rigoureux. Non. Juste une petite boucle d’une heure et demie sur l’eau, inclus l’envoi des voiles et le rangement. Mais c’est toujours ça de pris. Et c’était un bon moment de voile et de plein air.

Ca s’est passé pendant les 2 dernières heures de montant. Seul à bord (j’étais allé déposer 2 équipières sur le banc du Mimbeau, tandis que la 3e était resté à faire des maths – dur la terminale…), j’ai envoyé le génois léger tandis que le bateau avançait sous GV, au travers. Vent agréablement soutenu, sans violence. Voilà, le petit tour à côté de la bouée 15 et cap sur la côte.
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Jour d’été

Petite sortie, pour ce 2e jour d’été 2007.

A bord de l’Iboga : fx & ln : équipage de base. La mer monte. Le projet est d’aller tremper à Afrique et de repartir a pleine mer.

Soleil radieux, chaleur, vent faible. Trop. Yamaha pousse le bateau jusqu’à la bouée de chenal 14. Puis à l’approche de l’île, le vent se lève doucement puis, plus vigoureusement. La nouvelle gévé et le génois léger sont envoyés. Nous embouquons l’estey1 d’Afrique toujours sous voiles, jusqu’à arriver à raz des près salés du quartier d’Afrique.

La baignade. La petite promenade à terre avec visite à cette épave de voilier acier échoué contre le perré, qu’on se demande si elle va rester là jusqu’à ce que la rouille l’emporte, ou si elle sera renflouée un jour. Continue reading


  1. en patois, « estey » représente un petit chenal 

Trophée des Jouët 680

Attendue depuis un an, cette 3e édition du trophée des 680 commence bien, avec plus de 10 Jouët inscrits, ce qui fait une belle flottille, mais ne se terminera pas puisque l’heure limite 18:00 verra les plus acharnés attendre le retour du vent à l’ancre devant les Américains, et un verre de pastis à la main (sur l’Iboga en tout cas).

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I go back (igoba(c)) ou « au pied de la dune du Pilat »

Mi-août, le 16, précisément, alors que la météo est prévue pour 12 à 22° avec incertitudes pluvieuses, le mot d’ordre : « Si on y va pas maintenant, on ira pas du tout. »

C’est dire comment on est motivé pour aller dormir à Arguin.

Rendez-vous avec les amis partis d’Andernos en catamaran.

A bord de l’Iboga : fx, Hélène et Alice. Après un nettoyage en grand de l’intérieur, histoire de chasser les miasmes salés et humides d’inoccupation (6 semaines sans voir la mer…) et de l’épisode squat, embarquer l’avitaillement pour 2 jours et les sacs de couchage. Il est 19:00. Il reste 1 heure et demie de montant et le courant de face est encore sensible. Le vent est nord-nord-ouest, assez fort pour déhaler le bateau au grand largue puis au vent arrière. L’inconvénient, c’est qu’à cette allure, le bateau n’est pas appuyé : il tangue sévèrement, l’amure pas claire, les voiles entre fasseyement et empannage… et cette profonde houle d’ouest qui profite de la haute mer pour entrer sans vergogne ni contrainte et parfois déferler sur notre route… Il n’y a pas de risque, mais le comportement du bateau est tout sauf agréable.

Enfin, arrivés entre la dune et le banc du Matoc (que je situe cette année au nord, en prolongation du banc d’Arguin, c’est discutable mais j’assume), « à l’ombre » de la houle, il ne reste que le vent et l’allure passée au largue est devenue sympa.
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