Deux équipières à bord

Une journée fort peu ventée s’annonce. Pas grave, j’ai le pragmatique Mariner bien (enfin… juste assez) accroché au tableau arrière. Autant le faire tourner. Si je me rappelle bien, le vent a fait mine de se lever au moment où on prenait un mouillage vacant devant l’Herbe, pour pique-niquer. Mais il n’a pas fait vraiment assez chaud pour plonger. Mes équipières ont tout fait ! Julie tour à tour n°1 à l’avant et à la barre ; Alice au GPS faisant le point (Disons qu’elle présente l’appareil bien haut pour que le satellite le voie. Comme je lui ai dis.)

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Pas de sortie pour l’Iboga

Mon nouveau jouet : le Garmin etrex Je ferais mieux de regarder devant moi au lieu de jouer, quand je barre : il a déjà failli me coûter quelques carambollages !

Mon nouveau jouet : le Garmin etrex Je ferais mieux de regarder devant moi au lieu de jouer, quand je barre : il a déjà failli me coûter quelques carambollages !

Un lever tardif me fait manquer la marée : quand j’arrive sans plus y rêver, comme prévu le bateau est posé sur le sable. A la place, je vais faire un grand tour de roller ; suivi d’un gros repas jusqu’à marée haute. En fin de journée, un tour de cata avec Vincent jusqu’à l’estey d’Afrique pour faire la bise Jef et Nath qui y campent. Quant à l’Iboga : d’un coup de moteur il rejoint son corps mort pour au moins 2 semaines.

Une sieste à Afrique

Après cette nuit pour le moins perturbée (qui m’a joué ce sale tour hier soir ?), je cherche un ponton vers l’Aiguillon. Mais à marée basse, elle est loin de l’estey, la plage, et vaseuse… Je retourne donc dans le port, m’amarrer au ponton des sportifs, vers le CVA. Car ce matin, j’ai une mission professionnelle à accomplir : valider en ligne le bulletin hebdomadaire de Wine Alley qui doit partir vers ses 3000 abonnés. J’ai donc emporté le Mac portable sur l’Iboga. Très bien, je n’ai plus qu’à trouver une prise téléphonique pour le modem. Bref, 2h plus tard, c’est fait.

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Bains de « minuit »

Après une longue soirée course contre la marée gagné pars à arc peu de vent et courant pif occupé avec mon nouveau jouet ferait mieux regarder devant moi moteur pour aider embarque Patrick et Didou sur la plage du port voile bords carrés contre courant et peu de vent pas d’Arguin route sur tchanquées, conche gavée flotille même une épicerie flotante moteur estey de Palourdey pas trop de monde sandwiches rosé bain sieste retour fin de journée longue nuit en prévision à couple du Pierre Mallet à qui j’ai demandé permission dans la journée […] drôle de surprise trouver mon bateau à l’ancre au milieu du port à 3 h en rentrant ivre de sommeil. nager ramener et partir cm Aiguillon un libre et plouf à l’eau avec ma gaffe dans une main et l’aussière dans l’autre et le bateau tout seul remontée pénible et trempé (heureux : je n’avais pas séché !) tout laisse en bazar et sac de couchage coma

Ronds devant le Moulleau

partage le banquet des équipages de pinasses et monotypes qui vont régater. Eric qui barre ferret-Capie est venu avec l’Iboga. tout gréé m’attends à l’ancre pour quelques ronds dans l’eau. embarque François et Laurent venus en cata (ça vente 20 nds : changer pour le foc n° 1) et aussi Nora et Alice et Julie. navigation brève mais technique : éviter les bancs de sable à marée basse et pas gêner les concurrents + les bateaux à moteur. au retour laisser le bateau là où je l’ai trouvé il rentrera sans moi.

Je vais arriver à y aller au départ de la Figaro ?!

Ce samedi commence très mal : réveil raté, malgré tous mes efforts, j’arrive 15 mn trop tard au bateau. Et il fallait que ça m’arrive un jour ; il est scotché au sable ; marée trop basse, il manque 15 cm d’eau. Alors là : merde ! Je trépignerais presque de dépit… Me voilà avec 2 h à patienter, le temps que la marée finisse de descendre puis remonte assez. Ca me laisse le temps d’un fastidieux nettoyage des fonds et des coffres. Non seulement ça nettoie, mais en plus, l’exercice a un petit côté autoflagellation ironique: ça m’apprendra à rater le marée.

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Basse mer aux tchanquées

Midi au port d’Arcachon : peu de vent, temps moyen à beau. On repart à Claouey, mais avant on va s’arrêter aux cabanes tchanquées de l’Ile aux oiseaux pour manger. Evidemment, un dimanche, la conche est gavée de promène-couillons, plus quelques voiliers. La marée baisse. Tout l’art de choisir un mouillage, ici : il faut une place entre les bateaux, du sable dessous c’est mieux que de la vase et, comme j’ai l’intention de repartir peu après la basse mer, il faut prévoir qu’il y aura assez d’eau pour flotter à ce moment là. Je m’en sors plutôt bien.

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Deux départs, dont un

Nous avons rendez-vous, Alice (6 ans bientôt), Julie (8 ans 1/2) et moi, leur père, à midi à Arcachon avec Julien (9 ans), Patrick et David, pour un pique-nique au banc. Après quelques bricolages, le départ. Il faut dire que le temps s’est carrément dégradé depuis la canicule du vendredi : vents de 22 nds, horizon très bouché, clapot serré même en haut du Bassin. Résultat : malgré le ris dans la GV et le petit foc, au près serré la bateau bouge fort et Alice n’apprécie pas du tout (euphémisme). Alors, à peine dépassée Hautebelle, je ne contrarie pas : on annule tout et retour au vent arrière (là tout va bien !). Le reste de la journée sera de rêve : à l’ancre au bout de la plage de Bertic, presque à l’abris du vent, on laisse la mer descendre doucement, puis visites aux amis à terre tout l’après midi.

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