Kite au Toulinguet, et autres activités nautiques

Samedi matin, Capus (marché des Capucins, à Bordeaux ; je ne le répèterai pas) pour l’avitaillement, route vers la presqu’île en passant régler une dette au chantier naval qui a mis l’Iboga à l’eau, puis accastillage à la Coopé : 11m d’écoute de GV, 20 m de drisse de génois, 6 m de chaine de 12mm et 2 manilles galva pour le corps mort, puis fin de la route jusqu’à l’escoure du phare. Ouf. Embarquement de tout un tas de trucs lourds avec l’aide de l’annexe mais l’eau était si bonne que je m’y suis baigné (à la claire fontaine, tout ça…). Rien ne presse, il n’y a pas de vent. Je déplace le bateau vers un corps mort dans le chenal (trace rouge) et je fais du matelottage : quelques surliures, replacement des bouts à remplacer…

L’idée c’est d’aller rejoindre la flottille de « la belle plaisance 2009 » que je vois déjà arriver d’Arcachon, portée par le courant. Continue reading

Crachin sur la navigation de plaisance à Arcachon

Enfin, j’ai sorti l’Iboga ! Pas sorti de l’eau, non, bien qu’il en ait besoin, sorti pour naviguer… Destination : le port d’Arcachon

Le prétexte : aller à ce rassemblement des opposants à l’arrêté préfectoral de restriction draconienne contre la plaisance sur le Bassin, en préfiguration de l’emprise de Natura 2000, je simplifie.

Arcachon sous les nuages

Arcachon sous les nuages

La vérité, c’est que je n’ai pas sorti l’Iboga depuis le 24 septembre. Un bail… Le bateau est immonde dessous – herbiers, mollusques divers (attention je vais être zoné natura 2000 !) – dessus – crépi de fientes et déchets d’agapes de mouettes (pourvu qu’elles ne forniquent pas aussi sur mon bateau, sinon, attention à la directive « oiseaux » !) – et dedans – moisi, humidité, bronx (je ne crois pas tomber sous le coup d’un arrêté préfectoral ou municipal pour saleté dans ma cabine)… Continue reading

Iboga aux 16 heures d’Arcachon 2007

J’en entends d’ici des qui interloquent : mais… pourquoi il dit « 16 heures » ? Euh, c’est « les 18 heures d’Arcachon », non ?

On se calme… j’explique :

Patrice à la barre, fx à l'écoute de spi - Photo : Benoît Chochon

Patrice à la barre, fx à l’écoute de spi
Photo : Benoît Chochon

En fait, l’Iboga n’a couru que 16 heures car j’ai choisi de « décrocher » à 09:00. Décrocher, oui, je veux dire « lever l’ancre qui nous empêchait de reculer devant le Ferret depuis 7 heure du matin », privilégiant le confort de la journée à venir à un hypothétique gain de quelques miles supplémentaires. Pour être clair, je suis allé prendre mon corps mort tant qu’il était encore en eau plutôt que de rester jusqu’à la fin en course et alors obligé d’attendre le soir pour ranger le bateau. Bon, tant mieux pour le reste de la flotte : le vent s’est levé entre 10:00 et 11:00, lui permettant effectivement de grignoter quelques miles supplémentaires. Continue reading