Bon, voilà, mes amis followers sur Twitter ou sur Facebook le savent déjà : l’Iboga a quitté Claouey pour une destination encore inconnue.
Inconnue parce que lorsque j’en ai eu connaissance, ce lundi, nous étions à 15 mn de la nuit, et moi à Niort.
A priori, il faut regarder depuis la pointe de Claouey, vers Arès ou Andernos.
CF les 3 dernières fois que c’est arrivé (« et ça t’a pas servi de leçon, hein ? » — on en reparlera…) :
Pour le moment, il fait nuit, il n’y a plus qu’à attendre.
Dès demain matin, solidarité plein pot avec Jean-Pierre, de la Bonne Franquette, ostréicuteur à Claouey, qui regarde à la jumelle s’il voit le bateau, le frère de Jean-Daniel, mon collègue blogueur, qui ira aussi sur le terrain, et mon collègue 680tiste, Roger, résident d’Andernos et membre de l’association des Jouët 680 qui ira arpenter la côte.
Ce qui m’inquiète, ce sont dans l’ordre : les dégâts matériels sur la coque, plus ou moins graves, et les pilleurs d’épaves, charognards à l’affut des unités en déroute qui échouent sur la côte nordet du Bassin. Et j’ai quelques histoires là dessus, vécues de très près. ce ne sont pas des procès d’intention.
Mais là, ya plus qu’à attendre.
Merci à tous pour les témoignages de sympathie : Pierre, Alain, Bertrand, Aymeric, Julien, Elie…
Des news à suivre…