Après un début de carrière comme journaliste et consultant en investissement, Om Malik écrit pour le blog d’analyses technologiques et business GigaOM, qu’il a lancé en 2001, devenu l’un des 100 blogs les plus lus / influents1. Son compte Twitter @om est suivi par près de 1,3 millions de followers.
Après la phase de constitution des équipes, voici donc les « lémuriens néo-pop » réunis pour imaginer une expérience de visite de la salle des sièges contemporains, sur la base en principes, du pitch qui nous a réuni.
Nos premières réflexions bouillonnent
De prime abord, dans cette salle, il y a des dizaines de sièges. Près de 70, en faits. Tabourets, chaises, fauteuils, chauffeuses… De très rares et de très banals. Ce qui est impressionnant, c’est le nombre, les couleurs, la diversité de formes. Mais, pourquoi s’intéresser, s’attacher plutôt à l’un de ces sièges plus tôt qu’à un autre ?
On a envie de capter les sensibilités des visiteurs, que les participants aient envie de parler des chaises.
On se demande comment on va leur faire aimer les chaises, mais si ça se trouve ils les aiment déjà ; du moins ceux qui rappellent des souvenirs familliers, familiaux, des séjours, des salles d’attente, des réfectoires…
Les 11, 12 et 13 novembre dernier se déroulait au musée des Arts décoratifs une expérience inédite : Muséomix.
Le musée mettait à disposition 11 de ses salles, l’espace de sa bibliothèque, et des interlocuteurs : conservateurs, guides, médiateurs. Les organisateurs, eux, mettaient à disposition : un scénario à l’épreuve des balles, de nombreux facilitateurs, des partenaires à haut niveau d’engagement (ping: la team Erasme / musée des Confluences), un catalogue de fantastiques ressources digitales plus ou moins intégrées, des Legos, des feutres et du papier, du feedback, des exigences, un timing… Et les participants, 70 sélectionnés sur 140 candidats, apportaient leur métier de professionnels de la médiation culturelle ou de designers mais, surtout, une forte motivation pour vivre l’expérience Muséomix.

C’est abusé, yo !
Pas faux, autrement dit : ça sent la confusion, l’hésitation, la dispersion ou pire, la duplication répétitive robotisée. Rien de bon, quoi. Une mise au point s’impose.
Considérons qu’il y a plusieurs « identités » sous cet écheveau de e-présences sociales.
Il y a d’abord, pardon de commencer par moi, François-Xavier Bodin, l’individu, et puis le même, professionnel du conseil en stratégie digitale

La mission :
- intégrer un corpus de contenus validés
- effectuer d’éventuels complément de recherches
- faire comprendre les systèmes à partir des usages, de la réalité de vécu. Découvrir, comprendre, projeter une réflexion globale, avec une dimension pédagogique
- fournir les rédactionnels pour l’expo : affichages, titres, accroches, déclinaisons de micro-contenus, notices, consignes de démos…
Vendredi 21 octobre dernier se tenait l’étape bordelaise d’agile tour, cette conférence itinérante dédiée à la promotion et au partage des valeurs et méthodes agiles.
Déjà 2 gros mots dans mon billet : PO et agile. Zut. Je ne voulais pas faire une cours sur les méthodes agiles en général ni sur le rôle de product owner (PO) en particulier, j’en serais bien incapable.
Pour ceux que cela intrigue, une ressource de référence pourrait être le blog de Jean-Claude Grosjean Qualitystreet où je trouve justement une belle définition toute faite des méthodes agiles :
Une méthode agile est une approche itérative et incrémentale, qui est menée dans un esprit collaboratif avec juste ce qu’il faut de formalisme. Elle génère un produit de haute qualité tout en prenant en compte l’évolution des besoins des clients
L’un de mes partenaires est en charge de l’AMO multimédia sur un projet de scénographie de parcours de visite (musée).
Il cherche à recruter, pour collaborer avec l’architecte, une structure qui puisse assurer la production et l’intégration de tout le multimédia du parcours :
– conseil sur le hardware multimédia ;
– conception et réalisation des éléments multimédia à produire (audio-visuels, animations, interactifs).
(Vous) (re)Connaissez-vous (dans) ce profil ?
N’hésitez pas à vous (ou me le) signaler en DM @fxbodin ou par mail, références à l’appui, pour mise en contact avec mon partenaire.
Ça a démarré par un message de q29surleweb sur une mailing list confidentielle à laquelle j’ai le privilège d’appartenir :
box.net offre 50go en ce moment aux utilisateurs d’ios, profitez en !

Installé l’appli iPhone gratuite et activé les 50 Go, ça ne mange pas de pain.
Et puis je me suis rappelé pourquoi j’avais laissé tomber : la capacité de synchro avec un desktop est réservée aux comptes payants. Ce qu’on a pour rien avec DropBox.
Ce que précise @cheapskateblog dans son billet sur C|net:
There’s a Dropbox-like Box Sync client for Windows and Mac, but it’s available only to those who purchase Business or Enterprise accounts.
Pour de grandes capacités de stockage payantes (sauvegarde à la façon de Time Machine, avec Arq de Haystack Software) j’ai déjà de la place chez le Claude1 de Amazon (AWS-S3).
oui, je sais : « cloud » ↩
<update> Ayant reçu une mise en demeure de la part de l’éditeur de ce site de PA bien connu, Quentin a préféré suspendre le développement et la distribution de son application bien pratique. Son message :
…je suis désolé de constater que ce que j’estimais être un outil pour mieux profiter de [ce site de petites annonces bien connu] est considéré comme « contrefaçon, concurrence déloyale, parasitisme et pratique commerciale trompeuse ».
(…)
Loin d’être abattu je garde mon énergie pour la création !
Surveillez mon site, il se peut que l’avenir soit passionnant.
Mon commentaire : une fois de plus, l’intelligence 1.0 à base de mises en demeures et d’intimidation a pris le dessus sur une analyse créative au terme de laquelle, peut-être, cet éditeur aurait pu proposer à Quentin de lui acheter l’appli pour la publier sous sa marque (avec ses pubs…) Ça m’inspire la relecture de l’essai de Jean-Marie Pelt : La Raison du plus faible </update>
J’ai eu le privilège de participer depuis un mois au beta test privé de cette appli modeste et géniale : « [beeep] », développée par Quentin « @TokiWoki« .
Ce qu’elle fait : vous prévenir quand un bien, un objet que vous cherchez est mis en vente sur [le site de petites annonces bien connu].
Avec [beeep], vous entrez vos critères : ville / département / région ou toute la France, catégorie, mots clés… Si ça se trouve, votre recherche renvoie l’article que vous cherchez, il ne vous reste plus qu’à finaliser la transaction avec le vendeur. Autrement — vous n’avez pas trouvé immédiatement l’objet idéal — vous enregistrez la recherche puis [beeep] veille pour vous : il scrutera régulièrement [le site bien connu] à votre place.
Consultant fonctionnel expérimenté, j’interviens en général en assistance à maitrise d’ouvrage (AMOA) ou en conduite de projets digital. Mes domaines de prédilections sont le Web, les intranets et extranets, le web social, le community management et l’éditorial.
Une sélection de mes missions en cours et récentes :
Centre Culturel et Touristique du Vin (CCTV), élaboration de la stratégie de services et applications digitales visiteurs et exploitation, front et back-office, infrastructures, budget, organisation, impacts scénographiques et architecturaux de cet équipement dimensionné pour recevoir 400 000 visiteurs. (en partenariat avec Cap-Sciences – en cours)
Cap Sciences, AMOA de la conception et de la programmation, puis coordination des développements et pilotage de la mise en œuvre du dispositif modulaire de visites interactives personnalisées « Navinum » (déploiement en cours)


![[beeep] veille pour vous dans les petites annonces](https://www.fxbodin.com/wp-content/uploads/6216306691_a1ab9de012_o.jpg)
