Prévue de longue date, annoncée à la conférence d’avril, cette concentration historique était organisée par Joël, de La Bulle, pour l’association des Jouët 680.
Le courant, c’est ce flux de jusant qui nous a porté, aidé par un vent de nordet peut être 8 nds, le temps de quelques larges bords, jusqu’à l’embouchure du chenal du… courant.
À bord : cousin Jean-Yves et Laurent, que j’ai cueillis après le repas, à Claouey, pour un embarquement à 14:00. Pile le bateau flottait. En plus, un petit vent de NE, juste assez pour évoluer correctement. Oubliée la petite pluie de ce matin : on a presque grand soleil, entre les nuages. La météo s’est plantée. Continue reading →
Arriver à passer 6h sur l’eau, dont 4 de nave, entre Piraillan et Hortense, départ et arrivée bien sûr au mouillage de la plage du phare, et une escale au Bancot, sans voir le temps passer, c’est ça le « flow ».
La Bulle a un peu taquiné le peloton de tête, les premiers temps, jusqu’à Eyrac ou Thiers, non ?
Pour nous, il n’y a plus eu de régate 680 à partir de la Chapelle, quand Petit Pacha et Galip se sont embrouillés, derrière nous. C’étaient les seuls qui nous menaçaient. Par la suite, nous avons régaté contre les First 211 et 21.7, un Bjet et un Microsail. Les First et le Bjet sont arrivés 5 mn devant nous, ce qui est pas mal je trouve étant donnée leur meilleure remontée au vent. Le Microsail, nous ne l’avons pas laissé passer au travers dans Mapouchet, régate oblige.
Ce qui a fait la différence ? Pour ce qui s’est passé sur les autres 680, je ne sais pas. À bord de l’Iboga : Continue reading →
Arrivée le matin de Bx avec Julie, artiste plasticienne. Embarquement de Jacques (qui blogue, quand Orange consent à laisser fonctionner son réseau mobile, sur https://www.lecapferret.net/), au Ferret, qui d’ailleurs à quelques minutes près sauvait la marée en sacrifiant son café chez Lemoîne à la gestion du bateau. Pas dommage d’être 3 sur le bateau : nous aurons un fort vent au retour, un bateau exigeant… Descente au près. Arguin surpeuplé mais une place à la conche sud, entre 2 pneumatiques. Vent. Baignade. Salade dans le cockpit assaisonnée à la discussion sur les conditions du bac (pas celui de Lamarque) et des études supérieures… Retour pour le train de 18:26. Largue et arrière en contournant Arcachon. Prise d’1 ris et réduction avant foc. Débarquement de Julie à Eyrac. Satanées vagues artificielles. Pas évidente la manœuvre. Au revoir de la main… Retour face vent (faiblissant) et courant vers le Ferret. Nombreux virements. 3 heures… (Voir la trace) Tandis qu’arrivaient Lucile, Celina et Charles pour une nouvelle page estivale et ferret-capienne.
A l’instigation de mon ami Jacques, créateur du fameux Blog on the Beach, je me suis offert 24h de Bassin en pleine semaine pour aller passer une nuit à Arguin entre hier mardi et ce mercredi.
1° déplacer le corps mort à l’intérieur de la zone autorisée sous peine d’encourir les foudres de la police des mouillages municipaux ;
2° embarquer la petite famille de Corine et Olivier pour une découverte de l’île aux oiseaux.
Le reste est open.
Autant le dire tout de suite : grâce au beau temps et au vent de force 4 soutenu, le programme sera non seulement tenu mais outre passé pour le plus grand plaisir de tous les participants et le mien aussi.
Ca commence vendredi en fin de journée, juste après un apéro chez quelques autochtones du village des pécheurs du Ferret à qui je viens d’emprunter une pelle. Continue reading →
La Préfecture Maritime de l’Atlantique nous avise dans son Avis aux navigateurs du Bassin d’Arcachon n° 12/2009, de la position actuelle (avril 2009) des bouées marquant le chenal des passes du Bassin. Toujours utile.
Carte du balisage des passes d’Arcachon avril 2009
Les usagers du Bassin d’Arcachon sont informés que dans l’attente de nouveaux sondages, le balisage de la passe Nord du chenal d’accès au Bassin d’Arcachon a été provisoirement déplacé comme suit.
(positions exprimées en WGS84) :
bouée d’atterrissage Arcachon : 44°34,511′ N – 001°18,737′ W
Lendemain de 1,5 jour de bringue et voile traditionnelle, besoin de silence, de repos, de solo.
La marée ne me laisse pas le choix de l’horaire : je dois décarer à 10 heures pétantes. Même pas le temps d’aller chercher du pain. C’est coëf de 101, autant dire qu’il y a un sacré jus et avec ce vent très moyen, il est hors de question de choisir son trajet.
Iboga mouillé au Pyla
Ce sera donc Arguin.
Alors que le bateau déboule vers le sud, il me prend l’idée d’aller chercher mon pain au Pyla. Et pourquoi pas ? Alors je fais demi-tour et bataille un peu contre le courant pour remonter assez pour passer entre les bancs de sable qui encombrent le grand chenal entre le Cap Ferret et la côte Moulleau-Pyla. Continue reading →