Ostréophilie primaire et culturelle

dans son blog culinaire que je découvre au détours d’un fil rss, Eric Roux tient le journal quotidien de ses aventures en cuisine. Au menu de ce jour : l’huître. Plus précisément, les façon de consommer l’huître crue avec sa crépinette, et le rapport à la sauvagerie résiduelle dans le passage du produit vivant au produit culturel. En prime, un intéressant parallèle avec les champignons.

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Sablonneys 4 2

Ce dimanche, nous avons passé une excellente après-midi, Hélène et moi, au banc d’Arguin, face aux Sablonneys d’où partent les parapentes. Aller et retour avec le courant, quasiment pas de moteur contrairement à samedi. Mais comme samedi, départ au tout dernier moment, 2 heures 30 avant la BM, avec 10 cm d’eau sous la coque. Décidément, ce mouillage n’offre pas une grande amplitude. Autrement, pas grand monde ni sur l’eau ni à Arguin, compte tenu de la météo maussade annoncée. Avec le nez sur le sable et le safran dans 5 ou 6 m de fond, l’ancre à la plage, le bateau se tient dans le lit du vent pendant notre promenade sur le banc. Puis pique-nique indolent et café dans le lit du courant. Jusqu’à ce que l’ancre – mouillée court – ne dérape sur le sable du fond du chenal ! Départ pour un long bord de près jusqu’au Ferret. Nous apperçevons les bacs à voile « Les copains à Bord » et « Pdt Pierre Mallet », chacun sur sa route. Nous rentrons 1mn avant le retour de la pluie, à 16:30, heure du phare.
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Les Bancs d’Arguin, du Chien et du Toulinguet

Ils délimitent les Passes du Bassin. Incontournable mais parfois inabordable, avec les bateaux mouillés en double, voire triple file. L’océan, l’eau claire et le sable jaune, la dune du Pyla à gauche et le Cap-Ferret à droite, les dauphins… magnifique. Sur le banc d’Arguin, de fabuleux mouillages à prendre en eau et laisser le bateau s’échouer au milieu. Profiter du coucher de soleil sur la dune, faire cuire les coques ramassées de frais, laisser venir la nuit avec le silence retrouvé… Mais quand même, gare aux coups de vent : il n’y a pas réellement d’abris.

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Vendredi 16 août 2002 : en triple file sur Arguin

Belle journée sur l’eau au départ de Claouey avec Hélène, Richard et son amie Virginie qui n’a jamais mis les pieds sur un bateau. C’est la fin du montant et le thermique n’a pas encore décollé : promenade au moteur le long de la côte, par Piclaouey, le Four et Petit Piquey, puis on rattrappe le chenal de Piquey vers la Pointe aux Chevaux. Descente sur le Mimbeau où nous devons embarquer Maguy et Laurence. Le vent est là, le courant s’est inversé. Direction sous voile vers le banc d’Arguin. Evidement, un week-end de 15 août… les places sont chères. On mouille en double file, sans jamais cesser de surveiller d’un oeil les autres et ceux qui s’incrustent quand même. Pique-nique à bord… Enfin une parcelle de plage se libère : on peut faire beacher quelques instants le bateau pour débarquer l’équipage. Puis il faut l’écarter dans le courant pour éviter qu’il ne se pose et nous bloque là plusieurs heures. Café sur le banc avec vue sur la dune à l’heure où les bateaux à moteur reprennent « la route » vers Arcachon. Retour avec le montant, au près, jusqu’à la plage du phare, où l’Iboga passera ses prochaines nuits avec le mouillage tout neuf (6m de chaine de 8, 20m de cablot de 12 et manilles neuves) que je lui ai promis pour samedi.

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Samedi 13 et dimanche 14 juillet 2002 : mini croisière à Arcachon

Claouey-Arcachon-banc d’Arguin-Claouey

Samedi, avec Alice et Julie, décision de descendre à Arcachon malgré le fort vent de cette fin d’après-midi. Au portant sous GV seule à 2 ris ; une lumière magnifique sur l’Île. Une bonne préparation prévient tout problème pour cette navigation en équipage réduit. Samedi soir, escale au port d’Arcachon, puis feu d’artifice.

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