Déjà mi février ! Comme l’an dernier, je veux avoir le bateau à l’eau aux premiers jours de mars : début de la période d’autorisation de mouillage.

Donc, il est temps de planifier les travaux de mise à l’eau de l’Iboga.
Qui sont légers cette année.

La carène : elle a été passée au kärcher à la sortie d’eau, un peu de papier de verre et une peinture antisalissure iront bien.

Et un bricolage de mon gouvernail qui se délite un peu au niveau de la tête, il faut remplacer les « joues » sur lesquelles portent les jumelles inox de la barre ; et à l’occasion, permettre au safran de se compenser un peu plus, parce qu’il est dur.

Hublots : pour la 3e fois, j’espère la bonne, recoller mes hublots ; j’ai essayé 2 fois (2011 et 2013) avec seulement cette bande de mousse autocollante, mais elle se déforme et finit par sortir, alors cette fois-ci, j’y vais à l’ancienne : un lit de silicone noir… ou plutôt je vais essayer la colle MS Polymère, noire aussi, comme je m’y suis entrainé sur le 590 de Manou cet hiver, en m’inspirant du Montage soigné sans mousse de Voilelec (la Bible).

Quoi d’autre ?
Poser un anneau de tangon pour le mât, en replacement de celui qui a sauté (en régate !) en 2013.
Remplacer quelques bouts : drisse de palan de dérive (le même depuis… 95 ?), bras de spi, bosses de ris.
Et poser une girouette avant de mâter !

Ah, oui : aussi, découvrir par où rentre cette humidité résiduelle sur l’avant…

Pas grand chose, donc.

Objectif : mise à l’eau samedi 5 mars. On tente ?