Un équipage motivé pour naviguer sous la pluie en novembre

Dernier planteur de la saison 16 de l'Iboga après une nave tranquille autour de l'ile. Démâtage à suivre

Dernier planteur de la saison 16 de l’Iboga après une nave tranquille autour de l’ile. Démâtage à suivre

L’Iboga est démâté depuis cet après midi. Il attend à l’ancre, plage de Bertic (j’espère à l’abris des coups de vents et de toute traversée intempestive des hauts du bassin, cette année) que je le fasse transporter au sec. Les haubans, étai et pataras déposés et emportés à Bordeaux pour replacement. Les actuels datant si ma mémoire est bonne de 96 ou 97 peut-être. J’ai un gros programme d’entretien pour cet hiver, incluant la dépose et remplacement de tout l’accastillage de pont qui de toutes façons est le siège de sournoises infiltrations.

Mais auparavant, la chronique de ce dimanche 6 novembre.

Comme le montre la carte (ne tenez pas compte de ce trait vertical fantôme), le parcours c’était Mimbeau – Claouey via le tour de l’île, suivi d’un démâtage.

À bord, un équipage fort motivé :
– Delphine, mon équipière des dernières 18 heures (déjà présentée là)
– Fred (@fredbermudes), aussi équipier des 18 heures, et son fiston, qui saura se rendre bien utile pour faire circuler les crudités et l’eau qui désaltère
– et Sébastien (@z3zone), pour sa 1ere sortie sur l’Iboga Continue reading

#secretbeach to Festivoiles au petit matin

C’était dimanche matin. 07:00. Pas même le temps d’un café. Rosée glacée sur l’herbe. Sac étanche déjà prêt. Sauter sur le kayak et pagayer vivement vers le bateau, loin, au NW là où nous l’avons piteusement échoué la veille à la nuit.

Là, la marée baisse déjà depuis une heure. Je suis hyper motivé à ne pas me laisser avoir. Course contre la montre dans petit matin automnal d’août. Le moteur démarre et, ouf, refroidit aussi. L’incident d’hier n’était qu’un bref colmatage de la prise d’eau…

Scène taussataise

Scène taussataise mise en ligne par Altaide

Grand arrondi, suivant les recommandations de notre hôte ; contourner le banc de sable sournois puis piquer vers le petit escalier blanc de #secretbeach. Dérive mi-haute, pour me servir de jauge. Touche. Stop. Ancre courte. Je me donne max 20 mn pour ne pas speeder mon équipage.

Une cinquantaine de mètre du perré. Revenir chercher l’équipage — Jacques et Célina ; Charles fera la route en voiture. Prendre son temps, un café, speed (quand même). Les herbes poussent autour de l’Iboga. Speed. Continue reading

Être sur l’eau le 26 octobre, c’est tout

Ce dimanche, vers 13:00, j’ai embarqué sur l’Iboga pour un petit tour, étant donnée la marée montante jusqu’à quatre heure à peu près, mais surtout l’heure d’hiver toute neuve qui peut surprendre en fin de journée.

Eventuel RV avec Mathieu, vers l’île si le courant et le vent le permettent.

J’ai d’abord traversé sous spi, si l’on peut dire : le bateau orienté au 90 (vers le Moulleau) mais faisant route au 54 (vers l’île).

Tu te dis « heureusement que je ne dois pas aller à contre courant, là ».

Autoportrait d'un marin bien équipé

Autoportrait d’un marin bien équipé

Et puis entre la bouée rouge 14 et la verte 15, de lassitude de voir ce spi pendouillant, j’affale et assez d’entendre la gévé claquer, je la blinde. C’est tellement rien, le vent, que le bateau ne s’y met même pas de face !

Le moment de finir le pique nique dans le lit du courant.
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Bonne année 2000 !

Avant tout : vérifier que le bateau n’a pas souffert dans la tempête (voir les « aventures » de l’Iboga). Tout va bien, il n’a juste plus de corps-mort, mais on s’en occupera plus tard : il fait trop beau. J’embarque. Pour cette première sortie de l’année 2000, rien d’exceptionnel comme parcours : descente jusqu’à la Vigne et retour. C’est que les journées sont encore courtes, on est en plein hiver. Que j’ai eu froid !