C’était prévu comme ça :
Samedi 5 ou dimanche 6/12 PM 13:00 -> possibilité Ferret 10:00 – Claouey à PM pour échouage et démâtage
Coef 46
Mouillage à Bertic (!) pour la semaine ⇠ acheter mouillage sérieux samedi
C’était prévu comme ça :
Samedi 5 ou dimanche 6/12 PM 13:00 -> possibilité Ferret 10:00 – Claouey à PM pour échouage et démâtage
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Dernier planteur de la saison 16 de l’Iboga après une nave tranquille autour de l’ile. Démâtage à suivre
Mais auparavant, la chronique de ce dimanche 6 novembre.
Comme le montre la carte (ne tenez pas compte de ce trait vertical fantôme), le parcours c’était Mimbeau – Claouey via le tour de l’île, suivi d’un démâtage.
À bord, un équipage fort motivé :
– Delphine, mon équipière des dernières 18 heures (déjà présentée là)
– Fred (@fredbermudes), aussi équipier des 18 heures, et son fiston, qui saura se rendre bien utile pour faire circuler les crudités et l’eau qui désaltère
– et Sébastien (@z3zone), pour sa 1ere sortie sur l’Iboga Continue reading
Dormi sur le bateau, samedi soir, après une bien agréable soirée entre pinasseyres.
Vous vous rappelez que l’Iboga est échoué à la plage de Bertic, à Claouey depuis la navigation solo du 1er novembre.
L’Association Plaisance au mouillage CDROM Bassin d’Arcachon rapporte l’accident survenu au Sun 2000 Pablo alors, apparemment, qu’il tentait d’éviter une collision avec un bateau de promenade.
La dernière sortie de la saison 2008. 32e, je crois…
Objectif : convoyer le bateau à Claouey, éventuellement le démâter dans la foulée pour le mettre à disposition d’un professionnel qui diligentera une remorque pour aller le caler à Lège.
Une fois n’est pas coutume, je vous recommande la lecture de ce rapport de mer publié sur le blog de Pierre-Yves Lautrou. Il rapporte comment Benoît Sineau, engagé dans la transgascogne 650, s’est retrouvé sur le toit, démâté, puis le bateau plein d’eau, et dans l’incapacité d’extraire sa survie… Certes, on est loin des conditions habituelles des Chroniques de l’Iboga, mais je sais que c’est la même mer, et que choisir de naviguer, c’est accepter d’être exposé à des conditions défiant toutes nos compétences. Raison de plus :-)
En 1999 (si mes souvenirs sont bons) à Claouey, les propriétaires d’un 680 le remettent à l’eau après l’hivernage, ils sortent par une belle journée et reviennent une heure plus tard avec le mat couché, plié sur le bateau. Dans leur cas, c’était un sertissage de tête de bas hauban qui avait cassé.