Attention, chronique en vrac.
Cette édition, le Champion en Titre avait choisi d’apporter son expertise à un camarade. Bonaire n’était donc pas sur la ligne. La ligne justement : une belle salade de bordés à la bouée au vent !
Suite à un départ derrière toute la flotte, je n’ai vu que des tableaux arrière jusqu’à l’arrivée. Et certains tableaux arrières je ne les ai même pas vus tellement ils étaient devant ! À l’arrivée, il y avait 3 4 bateaux devant l’Iboga et 3 derrière (dont un solitaire, non inscrit).
En arrière de la flotte, un passage hardi entre bancot et les parcs, tandis que la flotte contournait prudemment le bancot, a permis à l’Iboga de regagner 2 places qui ne lui furent plus disputées.
La remontée du chenal de l’île restera une session de four à chaleur tournante où le seul vent était celui produit par le courant ; autant dire que les spis étaient collés à l’étai ou peu s’en faut. Encore heureux que j’avais réparé samedi le tangon de spi, coincé par le sel et oxyde d’aluminium depuis deux ans !
Cependant, à part cet épisode, pour une journée annoncée pétole, il y a eu quand même plusieurs séquences ventées ; suffisamment pour faire marcher nos bateaux. Mapoutchet et le dernier segment de Teychan, dans un petit 3 je dirais, et, toujours dans le désordre, entre le départ et la bouée 14 avec le courant (merci le Comité pour avoir choisi ce parcours) face à un petit 2 bft qui se cherchait au début, on peut naviguer. Le 2 bft qui s’est maintenu pour le chenal de Piquey, en faiblissant.
Tag Archives: arcachon
[L’instant violent] Des fois si tu avais un lance roquette…
Oui, Le truc désagréable de cette super 1ère marée de la saison 20, ce ne sont pas les jetskis (un seul dans la journée) ce ne sont pas les bateaux à moteur, on en profite… c’est
L’HÉLICOPTÈRE !
Pas un rouge de pompiers Continue reading
Geeks on board pour ce tour de l’île via Arcachon et les tchanquées
Une CB à récupérer « en ville ». Pas de vent : traversée au moteur. À l’ancre plage Thiers déserte. Escale aux cabanes tchanquées. Marée haute petit coef. Très peu de monde en cette journée bien nuageuse. Nombreux « promènes-couillons ». Casse-croûte jusqu’au café. Vent, enfin. Finir le tour de l’île à la voile, contre courant et au près pour Mapoutchet et chenal de l’île. Avec le jus pour finir la boucle. À bord, Charles, Lucile et Bertrand, sa première en bateau.
Traversée, tradition, émotion, Arcachon, solidarité, potron-minet
Ce WE, je me suis levé tôt.
Samedi, 6:30, pour avoir le temps d’avitailler aux Capus avant de partir de Bordeaux. L’objectif d’être au bateau vers 11:15 est tenu. Mais je vais devoir attendre le flot une heure de plus, la faute au petit coefficient de marée.
Dès que possible, le cap est mis sur le Moulleau, de l’autre côté du chenal. Là bas, la flotte des bacs à voile et quelques canots mixes ont RV pour la régate. Traversé rapide, au portant. Mouillage à portée de touline de la plage. Le vent porte vers la plage et le courant est insuffisant à maintenir le bateau dans le lit du chenal. Situation du bateau à contrôler avant de partir en régate.
Les équipages sont déjà à l’apéro. Déjeuner des équipages superbement organisée et servi par les bénévoles du Moulleau (ou du Pyla ?) Brieffing et mise à disposition du comité de course. Ah, je vous ai pas dit ? je suis équipier sur le Président-Pierre-Mallet.
Pétition contre l’augmentation du tarif passager hiver du port d’Arcachon
Mise à jour du 22/12 : sous la pression des plaisanciers, le maire d’Arcachon fait suspendre le doublement de l’hivernage au port. Lire la lettre du directeur du port de plaisance d’Arcachon
Le port d’Arcachon double ses tarifs d’hivernage
Ferret – Arcachon A/R au moteur, bof bof.
Samedi 9 octobre. 16:00. Temps nuageux mais doux. La marée monte depuis 3 heures. Coef. 109. Petit vent suroît. Embarquement solo pour Arcachon avec une course à faire suivie d’un projet de soirée en 2 temps.
Marée à Arguin en 680 ; le Canon, dessalage dans le Courbey, Eyrac et régate en pinasse ; Claouey en bac
Le titre résume assez bien ce super WE de (pinasse à) voile.
Je rentre à peine de 2 semaines à Mallorca et j’avoue que le choc thermique, tant dans l’air que dans l’eau est… revigorant.
52,5 miles en 18 heures (moins 3) avec la vidéo en commentaire
Découragés, les fans des Chroniques de l’Iboga — anciens équipiers, camarades de Jouëts, amis et simples sympathisans — ont tus leur clameurs : « et cette chronique des 18 heures d’Arcachon, elle arrive, ou quoi ? » « t’as tellement honte du résultat que tu te caches ? » « le classement, le classement ! »
Coup double à Arcachon et 1ère vraie nave de la « ya pu d’saison »
Le samedi, c’était un peu de bénévolat pour gratter et peindre la pinasse à voile Capricieuse, au club nautique de Claouey. Puis un repas de pinasseyre en quelque cabane claoueyenne. Suivi d’un acquis de conscience sur la Méhari : porter la roue à rechambrer, contrôler les lumières et se rendre compte que toutes celles de l’avant sont à remplacer de fond en comble (optique et gamelle comprises). Après seulement il sera temps de voir s’il y a d’autres raisons pour le non-fonctionnement généralisé. Et voilà la fin de journée. Il reste 1h de montant. Bruine assez conséquente. Vent ouest 15 à 20 nds.