Oui, Le truc désagréable de cette super 1ère marée de la saison 20, ce ne sont pas les jetskis (un seul dans la journée) ce ne sont pas les bateaux à moteur, on en profite… c’est
L’HÉLICOPTÈRE !
Pas un rouge de pompiers Continue reading
Oui, Le truc désagréable de cette super 1ère marée de la saison 20, ce ne sont pas les jetskis (un seul dans la journée) ce ne sont pas les bateaux à moteur, on en profite… c’est
L’HÉLICOPTÈRE !
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Ce samedi je me suis rendu à Andernos pour la 2e édition des Cabanes en fête. La 1e édition ayant été énorme, il n’y avait pas de raison. Et de fait, même le climat hivernal précoce cet automne a fait une pause pour le plus grand soulagement des organisateurs et le plaisir des milliers de participants.
L’affiche des Cabanes en Fête d’Andernos
Samedi 5 décembre prochain se tient à Andernos-les-Bains (Bassin d’Arcachon) une insolite manifestation : une fête de l’huître hors saison !
Ah ! une fête traditionnelle sans les estivants, rien qu’entre nous… Euh. Disons plutôt le pari d’attirer dans la station balnéaire ses véritables amoureux, capables d’affronter dans la bonne humeur festive les éventuelles intempéries – et encore, le mauvais temps n’est jamais certain :-)
Et pour nous attirer sur le port, la commune, ses partenaires et les andernosiens participant ont redoublé d’inventivité : 40 cabanes du port ostréicole accueillent 40 crûs de l’Entre-deux-Mers ; nous pourrons y déguster des « tapas de la mer » et si ça se trouve, des huîtres ; plusieurs chefs cuisiniers ont même accepté de jouer le jeu de la gastronomie dans ce cadre bon enfant. Continue reading
Cette petite note pour dire que enfin, j’ai réuni les conditions pour faire mettre l’Iboga au sec :
– avoir consolidé mes bers en bois, mais ça c’était prêt depuis début décembre, date initialement prévue pour la mise au sec…
Bon, il est plus que temps de mettre en ligne la chronique de ce sauvetage solidaire et néanmoins réussi.
L’expérience, c’est ce qui nous rend capables de reconnaître une erreur quand nous la recommençons. (Franklin Jones)
Mais… ne sautons pas au bilan. Dans l’ordre.
Le jour se lève. Je suis donc à la recherche de l’Iboga qui s’est fait la belle commme je raconte dans mon article d’hier.
Alors, ce mardi matin, comme convenu, point avec Jean-Pierre. Depuis le port ostréicole de Claouey, il n’y a rien à voir qui resemble à l’Iboga, me confirme-t-il.
Sur sa suggestion, j’appelle la police municipale d’Arès. En effet, il y a eu un relevé des bateaux échoués… On me rappellera. Pour me dire que non, il n’y a pas de Jouët 680 Iboga sur les côtes arésiennes.
Puis la police municipale d’Andernos. Qui me suggère de poser la question à Stéphane, le responsable du port. BON SANG, mais je le connais Stéphane… Je laisse un message sur son répondeur.
Pendant ce temps, Roger, mon collègue Jouëtiste d’Andernos (Cool, c’est le nom de son 680) s’est rendu disponible pour arpenter la côte.
C’est lui qui découvrira le premier l’Iboga. Continue reading
Il est bien gentil le journaliste de Voiles et Voiliers, de dire que je "sillonne le Bassin avec mon Jouët 680 Iboga". Mais, là, ce n’est pas un sillon bien rigoureux. Non. Juste une petite boucle d’une heure et demie sur l’eau, inclus l’envoi des voiles et le rangement. Mais c’est toujours ça de pris. Et c’était un bon moment de voile et de plein air.
Ca s’est passé pendant les 2 dernières heures de montant. Seul à bord (j’étais allé déposer 2 équipières sur le banc du Mimbeau, tandis que la 3e était resté à faire des maths – dur la terminale…), j’ai envoyé le génois léger tandis que le bateau avançait sous GV, au travers. Vent agréablement soutenu, sans violence. Voilà, le petit tour à côté de la bouée 15 et cap sur la côte.
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Mi-août, le 16, précisément, alors que la météo est prévue pour 12 à 22° avec incertitudes pluvieuses, le mot d’ordre : « Si on y va pas maintenant, on ira pas du tout. »
C’est dire comment on est motivé pour aller dormir à Arguin.
Rendez-vous avec les amis partis d’Andernos en catamaran.
A bord de l’Iboga : fx, Hélène et Alice. Après un nettoyage en grand de l’intérieur, histoire de chasser les miasmes salés et humides d’inoccupation (6 semaines sans voir la mer…) et de l’épisode squat, embarquer l’avitaillement pour 2 jours et les sacs de couchage. Il est 19:00. Il reste 1 heure et demie de montant et le courant de face est encore sensible. Le vent est nord-nord-ouest, assez fort pour déhaler le bateau au grand largue puis au vent arrière. L’inconvénient, c’est qu’à cette allure, le bateau n’est pas appuyé : il tangue sévèrement, l’amure pas claire, les voiles entre fasseyement et empannage… et cette profonde houle d’ouest qui profite de la haute mer pour entrer sans vergogne ni contrainte et parfois déferler sur notre route… Il n’y a pas de risque, mais le comportement du bateau est tout sauf agréable.
Enfin, arrivés entre la dune et le banc du Matoc (que je situe cette année au nord, en prolongation du banc d’Arguin, c’est discutable mais j’assume), « à l’ombre » de la houle, il ne reste que le vent et l’allure passée au largue est devenue sympa.
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Via « La Gazette des Communes« , une information qui intéressera en particulier les pilleurs d’épaves de tous poils qui hantent les rives du Bassin.
Toute personne se livrant au pillage des objets échoués sur les côtes françaises est susceptible de faire l’objet de poursuites pénales sous la qualification de vol. Continue reading
Le Jouët 680, n’a été construit qu’à un peu plus de 400 exemplaires ; de quoi faire une classe !?