Une fois n’est pas coutume, les Chroniques se font le relais d’un communiqué : Mathieu me transmet l’annonce suivante, que lui a adressé Jean. Ce moment ne se reproduira pas, alors, si vous pouvez en être, profitez-en.
Blog on the beach dans la Presse
"Sur la route" est le blog de Nicolas Espitalier et Frédéric Zabalza, journalistes à Sud Ouest. Ils consacrent ce mardi 21 août 2007 leur sujet à la soirée Blog on the Beach du samedi 18, au Cap Ferret.
Les blogueurs (au Cap-ferret) sont ils tous jeunes et de droite ?
Au blog on the beach du 18 août 2007, organisé par Jacques Froissant, auteur du Cap-ferret Blog (entre autres) on y venait à pied, à vélo, à cheval, en VW, en Méhari ou… à la voile, comme ici, le blogmaster de sun2k.free.fr/.

Estouki beache
Mais, pour ne pas répondre à la question-titre, posée impertinemment et avec le sourire par Nicolas Espitalier, journaliste à Sud-Ouest et observateur de cette soirée de blogueurs, il y avait plusieurs sortes de blogueurs et de blogueuses présents, certains portaient le cheveu grisonnant et certains n’étaient peut-être même pas de droite, mais honnêtement, on n’a pas fait de sondage.
Nicolas est habituellement basé à Agen, mais a passé l’été à rapporter des sujets pour le blog Sud-Ouest « Sur la route« .
Autrement, outre Mathieu et Jacques, déjà cités, il y avait une belle brochette de blogueurs. Bien sûr, je vais en oublier mais j’ai retenu (ou reconstitué) : Manuel, Charles, Frédéric, Alexandre, Sanji, Cédric accompagné de Giao et Nicolas, l’autre Alexandre (celui qui a porté, pas de l’Angélus, mais juste à côté), Hélène, et, et euh… Continue reading
Villa ancienne sur la plage de Piquey
La villa Les Hirondelles, un endroit assez peu fréquenté, relativement à l’écart des grands flux touristiques, au voisinage d’une parcelle de forêt en première ligne sur le bassin et du petit port traditionnel de Piquey… Hors champ à droite, la parcelle forestière de Piquey (forêt domaniale).
Voiles et Voiliers référence les Chroniques de l’Iboga !!!
Signalé par Jacques, de cap-ferret blog (entre autres) : hé fx, t’as vu, t’es dans Voiles et Voiliers, le hors série, non ? attend, je te montre…
Les 680 de Piquey et du Mimbeau
Une journée faste pour le recensement des Jouët 680 à l’occasion de cette promenade pluvieuse au petit port de Piquey, jouxtant la forêt domaniale et cette belle villa ancienne aux deux tourelles.
I go back (igoba(c)) ou « au pied de la dune du Pilat »
Mi-août, le 16, précisément, alors que la météo est prévue pour 12 à 22° avec incertitudes pluvieuses, le mot d’ordre : « Si on y va pas maintenant, on ira pas du tout. »
C’est dire comment on est motivé pour aller dormir à Arguin.
Rendez-vous avec les amis partis d’Andernos en catamaran.
A bord de l’Iboga : fx, Hélène et Alice. Après un nettoyage en grand de l’intérieur, histoire de chasser les miasmes salés et humides d’inoccupation (6 semaines sans voir la mer…) et de l’épisode squat, embarquer l’avitaillement pour 2 jours et les sacs de couchage. Il est 19:00. Il reste 1 heure et demie de montant et le courant de face est encore sensible. Le vent est nord-nord-ouest, assez fort pour déhaler le bateau au grand largue puis au vent arrière. L’inconvénient, c’est qu’à cette allure, le bateau n’est pas appuyé : il tangue sévèrement, l’amure pas claire, les voiles entre fasseyement et empannage… et cette profonde houle d’ouest qui profite de la haute mer pour entrer sans vergogne ni contrainte et parfois déferler sur notre route… Il n’y a pas de risque, mais le comportement du bateau est tout sauf agréable.
Enfin, arrivés entre la dune et le banc du Matoc (que je situe cette année au nord, en prolongation du banc d’Arguin, c’est discutable mais j’assume), « à l’ombre » de la houle, il ne reste que le vent et l’allure passée au largue est devenue sympa.
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L’Iboga squatté !
Ferret ce weekend de 14 juillet : j’ai réussi à aller 2 fois sur le bateau, vers la marée haute, mais le vent qui se lève (et quel vent !) à l’heure du dîner… je crois que j’ai consommé 3 litres d’essence. Au moins a-t-il fait très beau enfin (!) et je suis allé sur l’eau.
Départ des 18 heures d’Arcachon sous spi années 70-80 (vue aérienne)
Où, Grâce au témoignage de Xavier Hessel, l’on rétablit une vérité importante : non, les 18 heures d’Arcachon ne partent pas toujours au près. La preuve sur la carte postale :
Iboga aux 16 heures d’Arcachon 2007
J’en entends d’ici des qui interloquent : mais… pourquoi il dit « 16 heures » ? Euh, c’est « les 18 heures d’Arcachon », non ?
On se calme… j’explique :

Patrice à la barre, fx à l’écoute de spi
Photo : Benoît Chochon
En fait, l’Iboga n’a couru que 16 heures car j’ai choisi de « décrocher » à 09:00. Décrocher, oui, je veux dire « lever l’ancre qui nous empêchait de reculer devant le Ferret depuis 7 heure du matin », privilégiant le confort de la journée à venir à un hypothétique gain de quelques miles supplémentaires. Pour être clair, je suis allé prendre mon corps mort tant qu’il était encore en eau plutôt que de rester jusqu’à la fin en course et alors obligé d’attendre le soir pour ranger le bateau. Bon, tant mieux pour le reste de la flotte : le vent s’est levé entre 10:00 et 11:00, lui permettant effectivement de grignoter quelques miles supplémentaires. Continue reading