Tout est dans le titre et dans la Google carte interactive de la trace de l’Iboga à zoomer sans modération.
Les vire-vire de Claouey, un RV régulier des croiseurs côtiers
Après un début de saison perturbé par les conditions météo, le premier Vire-vire a pu se dérouler devant Claouey le 29 mai, « bien que les conditions de mer et de vent fort n’ont pas été franchement idéales » (pour le moins !), avec la participation, sous un ris, de Pilpouz, Mouille-col, (Erak, non ?) et Matsubakaï. Bravo à eux. (lire le témoignage enthousiaste de Patrick, patron d’Erak)
Coup double à Arcachon et 1ère vraie nave de la « ya pu d’saison »
Le samedi, c’était un peu de bénévolat pour gratter et peindre la pinasse à voile Capricieuse, au club nautique de Claouey. Puis un repas de pinasseyre en quelque cabane claoueyenne. Suivi d’un acquis de conscience sur la Méhari : porter la roue à rechambrer, contrôler les lumières et se rendre compte que toutes celles de l’avant sont à remplacer de fond en comble (optique et gamelle comprises). Après seulement il sera temps de voir s’il y a d’autres raisons pour le non-fonctionnement généralisé. Et voilà la fin de journée. Il reste 1h de montant. Bruine assez conséquente. Vent ouest 15 à 20 nds.

un peu de bénévolat pour gratter et peindre la pinasse à voile Capricieuse, au club nautique de Claouey
Petite escale au Mimbeau, mais bonne
Juste rentré à Bx, rapport à un horaire de train, direct du Mimbeau, à peine l’Iboga amarré à sa bouée. Dur le choc. Surtout que le vent daignait enfin entrer après une journée plus que molle quoiqu’ensoleillée c’était un minimum. Du coup, plutôt que d’aller dériver ou faire rager le moteur dans le chenal, service minimum et pourtant hors du commun : pique nique le long du Mimbeau, côté parcs. L’approche sous GV seule vent arrière profitant du faible courant le long du banc. Un emplacement pas mal sud, là où poussent tant bien que mal les pins. L’ancre au large et une autre à la plage. L’interloquation face au dépôt de sable par les gros camions jaunes, sable pris dans l’estey de l’escoure du phare, avec corps morts perdus et autres déchets. Mais pour qui se prennent-ils ceux là qui prétendent « engraisser » la plage ? Pourquoi ne pas bétonner ou poser des autobloquants tant qu’on y est, ne serait-ce pas plus rationnel ? Bah… La promenade côté lugue puis côté bassin. La suite de la promenade puis le casse-croûte aux charcuteries des Capus : Serrano bien fondant, Salamanque et Chorrizo piquants, tomates de début de saison… Et puis c’est bientôt la pleine mer et déjà le moment de partir. Voilà le lundi de Pentecôte.

la dune derrière un pin du Mimbeau
Le bateau est à l’eau, mâté
Ca c’est de l’efficacité : caréné dimanche, remis à l’eau jeudi et même mâté et haubans tendus (on verra le réglage sous voiles), à 12:00, grâce à la précieuse présence d’Edouard qui a pourtant du boulot sur sa pinasse…
Bacs à voile, mouillages au Ferret, Kite à Arcachon : quelques nouvelles de début de saison
Bon je suis à la bourre pour la remise à l’eau de l’Iboga, et ça ne va pas s’arranger : encore pas mal de pins à faire tomber à Cazaux (mon autre passion) entre autres trucs à faire en avril.
Acheter un Jouët 680 d’occasion : les points à surveiller
Future (heureuse) propriétaire d’un Jouët 680, Nelly nous interroge :
…je viens vers vous pour connaitre les points faibles à vérifier avant l’achat.
Alors, certes, le 680 est un bateau simple et fiable. Il n’y a pas de points faibles notoire. Toutefois, avec l’expérience, si je devais acheter un 680 d’occasion, je m’attarderais quand même sur les points suivants.

Ce n’est évidemment pas le futur bateau de Nelly, mais sur celui-ci, raison de plus pour une analyse des points de faiblesse.
La dérive
Construits entre 1978 et 1984, quasiment tous les jouet 680 ont atteint la limite de longévité du système de dérive. Demander si la dérive (et le système de support / pivot) a été déjà remplacée. Dans le cas contraire prévoir de devoir le faire de gré (préventif) ou de force (avarie) à courte échéance. Une intéressante ressource pour comprendre le mécanisme de la dérive, sur le site de l’asso des 680.
Avel Nevez II, un Jouët 680 à Saint-Briac (Ille-et-Vilaine)
De très mauvaises nouvelles pour Avel Nevez, ce mois d’octobre 2011 :-(
Bernard Collonges et L. Duguin sont les heureux copropriétaires du Jouët 680 Avel Nevez II (ça doit vouloir dire quelque chose en breton, peut-être nous éclaireront-ils…)
Le bateau, sorti du chantier en 1979, porte le numéro de série 48. Acheté en juin 1991, il s’est appelé auparavant : Ar Bach, Libertad puis Sam Suphy 3.
Son port d’attache précédent était Saint Jacques, près de Sarzeau, presqu’ile de Rhuys, Morbihan.
Maintenant, il est à l’eau l’été à Saint-Briac, Ille-et-Vilaine.
A bord de la Bulle ce samedi 2 janvier 2010
Joël m’a embarqué à bord de sa Bulle, samedi pour rallier une flottille de 3 Sun 2000 à destination du banc de sable proche des cabanes tchanquées. Super session sur l’eau : 09:00-18:00 départ Larros ; bonnes conditions de vent et ensoleillement presque parfait.
Au sec !
Instruit par l’expérience de l’an dernier, j’ai réussi à ne pas laisser trainer la formalité de mise au sec du bateau.
Tél lundi 30 novembre : RV pris avec monsieur le professionnel et son chariot mardi 1er décembre à 17:00 devant la cale de Claouey.
A 16:30 le jour dit, je suis à Bertic. Le moteur, que j’avais emporté à l’abri, est déposé sur la plage. Le bateau est à une centaine de mètre au large. Coef. 91. Pleine mer. Je me couvre d’un maillot de bain et c’est dans cet appareil très adapté que je me mets à l’eau pour aller chercher le bateau. Malgré mon corps révolté qui tente de me faire renoncer, une volonté supérieure parvient à me faire marcher, de l’eau jusqu’au cou — glacée, l’eau — monter sur le bateau, tenter de le rapprocher au lancer d’ancre (c’est foireux) et me remettre à l’eau pour le mener à la longe. C’est long. Un vent de sud soutenu et froid balaie le plan d’eau. Continue reading