Après le petit déjeuner du dernier bon samaritain (qui n’a pas connu ça ne sait rien), une rapide session de thalassovagues à l’océan, idéale pour remanier les corps et les esprits après ce beau Blog on the Beach Altaïde–Oxatis 2010.
Une quinzaine de blogueurs sur l’île aux oiseaux

Marée à Arguin en 680 ; le Canon, dessalage dans le Courbey, Eyrac et régate en pinasse ; Claouey en bac
Le titre résume assez bien ce super WE de (pinasse à) voile.
Je rentre à peine de 2 semaines à Mallorca et j’avoue que le choc thermique, tant dans l’air que dans l’eau est… revigorant.
[retrouvé] Vol d’un Moth Europe à Gujan !
Update du 19 août : le Moth perdu a été retrouvé flottant au large de Gujan.
Ferret – Afrique – Bancot – victoire en pinasse – Ferret
En fait, ce WE, je n’ai pas fait beaucoup de voile sur l’Iboga : jugez plutôt.
Vendredi, j’avais calé une opportune session de formation pour l’un de mes clients, au Ferret. parti tôt de Bordeaux pour éviter les encombrements du tour de France (digression #1 : va falloir qu’ils m’expliquent cette notion de tour de France qui est samedi à Pauillac et dimanche midi aux Champs-Élysées ; WTF?), très bref pique nique dans le cockpit avant d’enfiler des chaussures ; la formation très bien, et en fin de journée, je suis dispo pour un familly meeting (hors chronique).
Électricité #1
Ce samedi 24 juillet, de 10:00 à 17:00, à terre, les mains dans la Méhari, à Lège puis Andernos (merci de ton accueil dans ton atelier Alexandre !).
L’autoroute à contre sens, et contre courant
Samedi, au lieu de tranquillement aller au bateau, je m’arrête à l’herbe pour un démâtage express. Puis filer dare-dare à 12:30 pour ne pas rater la marée descendante depuis déjà plus de 2 heures.
Embarquer sur l’Iboga les vivres et aussi le kite, vu les prévisions de vent. Prendre la route d’Arguin au portant. Arriver juste à temps pour embouquer la « passe » à travers parcs, en poussant un peu de sable à l’entrée, mais j’arrive à amener l’Iboga au fond de la conche, celle qui est mitoyenne, au sud, de « la bassine ». Vu le niveau de l’eau, il n’y aura pas davantage de bateaux avant quelques heures. Ce samedi, c’est moitié voile, moitié moteurs. Mieux que la semaine passée. Les voiliers, faut voir les unités ! l’Iboga est de loin le plus petit.
Dans la conche à Arguin
Grosse marche à pied à la basse mer, le long des bancs côté passe. Découverte de structures sableuses étonnantes. L’idée d’être sur le banc en mouvement, le sable qui va finir sa course aux Sablonneys ou au petit Nice. Baignade. Fin du tour côté parcs. Très différent : là, des fonds herbeux, graviers, argile… Continue reading
La chance de partager une nuit à Arguin avec Alice
Au départ, c’était une croisière pour mes ex-collocs. Et puis ça n’a plus été possible. En plus le samedi matin est devenu une réunion du syndicat de la forêt usagère suivi du repas de Bureau, tout ca, de l’autre côté de l’eau, au sud. Total, je n’étais au bateau qu’à 18:00. Entre temps j’avais cueilli Alice et Lauryne à Piquey.
52,5 miles en 18 heures (moins 3) avec la vidéo en commentaire
Découragés, les fans des Chroniques de l’Iboga — anciens équipiers, camarades de Jouëts, amis et simples sympathisans — ont tus leur clameurs : « et cette chronique des 18 heures d’Arcachon, elle arrive, ou quoi ? » « t’as tellement honte du résultat que tu te caches ? » « le classement, le classement ! »
Un petit Toulinguet
Le samedi c’était pas du Jouët, c’était de la pinasse à voile : la régate organisée par Arès. Pas trop loin à tirer, au portant, pour rallier le RV. Embarqué à bord de la Légeote, chargé de l’amure. Une régate de début de saison, dirons-nous. Mais la 2e place n’est pas volée. La première, pour les Boïens, non plus, bravo à eux. Coup de chapeau à l’équipage du Petit Cailloc pour son sourire dans l’adversité (1 dérive cassée et 1 chavirage, quand même !) et merci pour l’accueil. Le timing parfait pour rentrer en quelques bords de près sur Claouey ou nous attend chef Dominique, organisateur et cuisinier d’un superbe PinasTapas partagé avec les organisateurs du Vire-Vire de Claouey. Pour finir raisonnablement (encore heureux !) parti vers minuit.