Entre les fêtes de fin d’année, je partageais le long entretien que j’avais accordé à… 🤖 ChatGPT (!) Entretien qui m’a permis de faire comprendre mon métier du designer de services (avec le) numérique : l’allié de tout projet innovant1.
Aujourd’hui, c’est la version courte : 4 slides pour comprendre le rôle du designer de service numérique, ses compétences, ses outils, sa motivation, son parcours…
Bonne lecture !
En tant que designer de services (avec le) numérique, j’ai été amené à répondre à une interview sur mon métier, les compétences clés pour réussir, comment c’est un allié incontournable pour la stratégie digitale de toute entreprise. Voici cet entretien qui m’a donné l’occasion de revenir sur mon métier.
Bonjour, merci d’avoir pris le temps de cet entretien. Pouvez-vous me dire en quelques mots qui vous êtes et ce qui vous intéresse dans le domaine du design de service numérique?
Avec plaisir. Merci d’abord de me recevoir. Je travaille dans le domaine du digital depuis plus de 30 ans. Ma première adresse e-mail sur internet date de 1992 ! J’ai une formation initiale en économie et en communication. Dès mes études je me suis orienté vers la communication numérique, l’interactivité, le multimédia.
La semaine dernière, Le Tourisme Lab Nouvelle Aquitaine et son partenaire Eurekatech, accueillaient l’Association Régionale des Grands Acteurs de tourisme, à Angoulême même, pour une demi-journée d’inspiration et de rencontre avec les fournisseurs de solutions numériques innovantes de la région1… Le pôle Magelis, à Angoulème — capitale de la BD et plus généralement de l’image — accueillait ces rencontres.
Collectivités, maîtres d’ouvrages, architectes, scénographes… des projets numériques pénibles, frustrants, enlisés… 😡 Ça vous parle ?
Pas étonnant…
Une expérience déceptive
Un peu frustrée, cette famille de touristes abrège sa visite des ruines du château médiéval et de son parc arboré centenaire. Surtout la fillette qui avait commencé un excitant jeu de piste en réalité augmentée sur le mobile de sa maman : au cours de sa quête, l’application s’est mise à freezer, l’icône de chargement à tourner sans fin, jusqu’au message fatidique « Network Connection Lost ». De toutes façons, l’application de visite que les parents écoutaient avait déjà cessé de fournir les contenus d’interprétation peu après qu’ils aient laissé leur voiture sur le parking quelques centaines de mètres plus bas. Donc, une fois épuisés les quelques panneaux d’information et bien examiné les vieilles pierres et les vieux arbres, il n’y avait pas de raison de rester plus longtemps… Quand à l’avis sur Google Maps…
La géolocalisation
Ce billet fait partie d’une série consacrée au diagnostic numérique comme préalable à la conception d’un dispositif ou application de visite en extérieur.
Après la mise en perspective des objectifs de de diagnostic, la première question : la couverture de services de géolocalisation est-elle suffisante ?
L’accès au réseau data
Ce billet fait partie d’une série consacrée au diagnostic numérique comme préalable à la conception d’un dispositif ou application de visite en extérieur.
Après la mise en perspective des objectifs de diagnostic, la question de la couverture GPS, la 2e question : la couverture des opérateurs de data mobile 4G (et plus) est-elle suffisante ? Et à défaut, existe-t-il et quelles caractéristiques possèdent les accès à internet en WiFi ?
Le parc de smartphone des « vrais gens »
Ce billet fait partie d’une série consacrée au diagnostic numérique comme préalable à la conception d’un dispositif ou application de visite en extérieur.
Après les objectifs de diagnostic, la question de la couverture GPS, la question de la couverture des opérateurs de data mobile 4G, ce dernier billet s’intéresse aux appareils sur lesquels l’application mobile de visite va devoir tourner : le smartphone des visiteurs.
Détruite en 1915 durant l’occupation japonaise, la “porte de l’ouest” de l’enceinte fortifiée de Séoul (🇰🇷) était située sur ce qui est devenu un carrefour routier très fréquenté ; impossible aujourd’hui de la restaurer.
Jusqu’à ce que le numérique rende possible une restauration… virtuelle.
Ainsi, en étudiant l’iconographie, les photos d’époque de l’ouvrage et les vestiges des autres édifices de la ville, la porte et le site environnant ont été précisément reconstitués en 3D.
Le numérique a pris une place importante dans la conception des expositions ; une place qui s’est amplifiée avec la crise sanitaire de 2020… Une place qui a aussi donné lieu à de nombreux débats. D’un statut de technique utile pour documenter la fonction de conservation des collections (bases de données, catalogage, numérisation, gestion…) le numérique est désormais considéré comme un moyen de médiation offrant de nombreuses possibilités. Les visites virtuelles par exemple offrent la possibilité de garder un lien avec les publics, et peuvent amener à réfléchir sur un continuum de visite préparant ou prolongeant l’expérience in situ, une perspective transmédia particulièrement pertinente sur ce sujet.