Tour de l’île en pinasse à voile

Ce dimanche j’ai fait la régate tour de l’île sur la pinasse à voile Capricieuse.

Pas de podium pour nous, mais la Légeote, qui est aussi de Claouey a emporté le trophée du tour de l’île et — surtout — le championnat du monde de pinasses à voile (du Bassin d’Arcachon).

Marie-Jacques Charpentier en pleine allocution au CNC

Marie-Jacques Charpentier en pleine allocution au CNC

Je ne vous raconte pas la fiesta et les libations !

D’ailleurs, les équipages de Claouey avaient commencé à fêter la victoire (qui sans déconner n’avait rien de gagnée !) la veille au club avec un gros bbq, chants, toasts, hommages, allocutions ; puis à l’apéro pris dans le chenal à midi dimanche, sur 4 ou 5 chalands à couple. Pour finir par un verre du triomphe pris sur l’eau après l’arrivé et encore un au retour au port de Claouey. Beau dimanche, en dépit des averses qui venaient rincer le départ autours de 10:30 et des bouffes de vent qui nous ont fait longtemps porter un ris dans la voile. Continue reading

Mordeau à la fetnat

Ce WE de 3 jours a commencé vendredi soir puisque je devais raccompagner Julie en fin d’après midi.

J’avais avitaillé largement dans la matinée aux Capus.

Je me suis installé pour la nuit au corps mort.

Noter que j’ai enfin embarqué le Campa Potti, la Rolls des WC chimiques, reconnue par tous les camping-cariste d’Europe et surtout rendu obligatoire pour bivouaquer sur le bassin désormais (lire les abondants échanges du mois de mars dernier)… Je lui ai trouvé une place dans un bout de couchette, pas trop encombrer… Je ne suis pas sûr encore d’avoir envie de le remplir : ces trucs chimiques ça indispose l’écologiste qui sommeille en moi.

Bon, passées les impedimenta scato-préfectoraliens, une petite salade dans le carré. La chance d’un coucher de soleil embrasant. Une nuit tranquille…

Remarquer la vague, à babord...

Remarquer la vague, à babord…

Et samedi matin comme je n’avais rien à faire, alors je suis allé jouer dans les « grosses » vagues des passes. Contre courant et encore assez rapide, dans cette marée de mordeau (« morte-eau » = petit coefficient de marée, donc petit courant). Passée la pointe, comme c’est presque pleine mer, la houle traverse les bancs en brisant sur le côté de la passe comme chacun sait. Continue reading

Dimanche 1er juillet 2001 : sailing cocker

Le RV a été donné la veille : « surtout, vous partez dès que possible, avant 10h00 parce qu’après, vous allez vous retrouver dans le tas et je ne réponds de rien sur la taille de l’embouteillage ni sur la hauteur de marée. Bien simple : si vous n’êtes pas là à 11h, je dégage. » Je ne vais pas me gâcher la marée pour 2 bordelais inconséquents ! Ca ne rate pas : ils veulent trop bien faire. En particulier les courses avant de partir. Circonstance atténuante a priori : mes deux crêpiers du jour se sont engagés à prendre Patrick en charge pour la route. Midi : les voilà. Certes, le menu du pique-nique est à la hauteur des 2 heures d’embouteillages dont ils sortent… Juste assez d’eau pour partir. Autant y aller puisqu’ils sont arrivés.

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