Dimanche 21 juillet 2002 : café et palourdes à l’ouest de l’Île

val et pat caz
Val’ et Pat’, deux experts du 680, sur l’Iboga

En cette journée ensoleillée mais fort ventée, l’Iboga a rendez-vous pour le pique-nique au bord de l’Île aux Oiseaux avec l’Incorrigible. Ce superbe sloup polyester de type Océanix 5,50m à 2 cabines, chargé d’histoire familiale, est mené par Maguy, Laurence et Philippe. A bord de l’Iboga, Hélène et le skipper. Après une petite heure de navigation sous GV seule (pas la peine de se faire du mal : le vent soufle fort et l’atterrissage sur les hauts-fonds de l’Île au vent arrière risque d’être un peu sportif), arrivée 2 heures et demie avant la pleine mer. Pour un dimanche de juillet, ce superbe mouillage est l’un des plus tranquiles du Bassin : en comparaison, les cabannes tchanquées, de l’autre côté, sont aussi fréquentées qu’un parking de supermarché le samedi et au banc d’Arguin, on doit mouiller en double file au moins ! Philippe ramasse de palourdes pour l’apéro du soir. On rapproche les bateaux de la plage avec le montant. Café dans le cockpit en compagnie de Patrick, Valérie et leurs amis venus d’Andernos au moteur malgré une avarie de direction… Promenade à pied vers le port de l’Île avant de s’échapper in extremis avec le descendant, pour ramener l’Iboga à son mouillage de Claouey, après ces deux jours à l’ancre au Ferret. Pour au moins une semaine de repos, puisque l’équipage fait route en voiture demain pour l’Île de Ré.

Publié originellement sur le site statique des Chroniques de l’Iboga