Au beau milieu d’un beau WE qui a vu la joie de participer à la despedida de mon cousin Pascal entouré de ses fidèles équipiers, de ses camarades d’escalade et de la famille — et donc de larges tranches de soirées sans fin — et la dernière régate de pinasses à voile de la saison — le tour de l’île — au cours duquel un importun banc de sable a mis un terme brutal à nos ambitions, voilà la marée du dimanche.
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25 Jouët 680 sur la plage pour les 40 ans du Bateau Idéal du Bassin d’Arcachon
Prévue de longue date, annoncée à la conférence d’avril, cette concentration historique était organisée par Joël, de La Bulle, pour l’association des Jouët 680.
7h réveil en sursaut : ai je bien mis assez de mouillage en arrivant hier ? ouf oui. Retour au lit. Continue reading
Belle plaisance, cabane des 680 et tour du Bassin
Trois grandes phases pour cette session de 30 heures de voile ; et l’alternance : solo, en groupe, solo, en groupe, solo.
Trophée des Jouët 680
Attendue depuis un an, cette 3e édition du trophée des 680 commence bien, avec plus de 10 Jouët inscrits, ce qui fait une belle flottille, mais ne se terminera pas puisque l’heure limite 18:00 verra les plus acharnés attendre le retour du vent à l’ancre devant les Américains, et un verre de pastis à la main (sur l’Iboga en tout cas).
Le retour du Trophée
Je suis – enfin – passé à la Voilerie du Bassin vendredi dernier, en coup de vent. J’ai pu faire connaissance avec Chantal et discuter de choses et d’autres à propos de bassin, de voile et de plaisirs nautiques.
Journée Asso 680, Arguin, pinasses, patrouille de France
Bon, pas le temps d’en faire une tartine, mais l’asso des 680 après une soirée commune au Ferret, et, pour certains une nuit au mouillage, était convoquée pour un départ en convois vers Arguin.
18 heures 2005 : l’Iboga prendra-t-il le départ ?
Ici, il est question de rédiger le petit récit libre de cette 32e édition des 18 heures d’Arcachon vus depuis l’Iboga, où l’on verra que, malgré une préparation optimale des réserves d’apéro et du moral des équipiers, alors qu’un vent parfait promet un départ d’anthologie, la rupture de la lame de safran à 20 mn de l’heure du départ contraindra à un piteux retour au ponton (avec l’aide très appréciable d’un aimable batelier arcachonnais). Où l’on lira peut-être aussi que, grâce à la superbe solidarité des propriétaires de 680, l’Iboga pourra repartir 90 mn plus tard avec un safran de prêt et courir – un peu à contretemps – sa course au grand plaisir de l’équipage et qu’il en résultera une ambiance exceptionnelle dans une compétitivité inébranlable vu que le bateau avait passé « la ligne » en même temps que les premiers de la course passaient leur premier tour (l’impression d’avoir pris l’autoroute à contresens). Où l’on comprendra peut-être que cette édition restera marquée, pour l’équipage de l’Iboga, au sceau de la persévérance récompensée, du plaisir d’être ensemble sur l’eau dans ce paysage inimitable et de la conscience de vivre des moments hors du commun.
Ci-après, les chapitres à compléter quand j’aurai le temps :