Plus de nouvelles de l’Iboga depuis octobre ! Mais alors, il ne se passe rien ?
Bon, rien, c’est très exagéré. D’abord, il a plu (pas de plaire, l’autre ☔️☔️☔️). Avec du vent, beaucoup, plusieurs fois. Et il a fait froid. Comme ça jusqu’à en gros, hier, 9 mai. Ce qui n’a pas trop motivé le chantier à s’occuper de la coque, sauf entre les gouttes, il y en a eu. Et pas motivé moi à pousser les feux.
Alors on en est à :
- l’expertise a été longue à mettre en route (fin janvier) mais rapide ensuite (versement fin février), et pas trop sévère (à part les 70% de vétusté appliqués sur l’accastillage), donc on va pouvoir travailler intelligemment ;
- la coque, œuvres vives (les parties amochées) et œuvres mortes (tout le tour) sont prêtes à peindre, depuis, faut être juste, les premiers curages de tissus délaminés mi-février, ponçage de la coque mi-mars, apprêt mi-avril ;
- la commande d’accastillage faite il y a un petit mois, ça ne devrait plus tarder ; j’ai déjà reçu l’ancre Delta 6kg qui tient juste-juste dans la petite baille à mouillage du Jouët ;
- programme de peinture de pont prêt depuis le 17 avril ;
- fournisseur du chandelier et son embase toujours pas localisé 🧐 ;
- intérieur du bateau tout moisi ;
- il est temps de remettre ce bateau en marche !
Nous avons RV samedi 11 mai à la fraîche pour travailler sur le pont. Objectif : avoir fini la peinture et reposée l’accastillage dimanche. Équipiers : Lionel.
Le plan de travail (on peut le voir en vidéo) :
- déposer tout ce qui peut se déposer facilement, donc, sauf : le mât, les rails de fargue, les embases de haubans, la ferrure d’étrave ;
- nettoyer les surfaces de contact (restes de colle, silicone…)
- marquer puis réparer tous les pets : curer, mastiquer, laisser sécher… ;
- pendant que ça sèche, masquer tous les orifices laissés par le matériel déposé, et le tour du mât, des haubans, les rails de fargue ;
- … poncer les reprises de pets ;
- dépoussiérer à l’acétone ;
- peindre une première couche en partant du fond du cockpit ;
- etc…
À suivre…