Soins de saison et examen de la coque

J’y serai bien allé samedi parce que le temps était au beau et au sec. Mais la Forêt m’a rattrapé et j’ai passé l’après midi en réunions. Pas de regret : c’est constructif et fondateur. J’ai quand même récupéré des vêtements de travail au container et l’échelle de bains martyrisée que je vais garder avec le bateau. Et j’ai enchainé sur une soirée fondue-finale de rugby à la Teste entre amis même pas sanctionnée par l’alcootest au rond-point-nasse de la Hume. Comme quoi… non, rien.

Alors j’y suis allé dimanche, vers midi.

Connecter le courant et l’eau a été exceptionnellement facile (grâce aux tuyaux de Roland et au connecteur de Jean-Louis). Du coup le carénage au kärcher (je mets une minuscule de nom commun, comme dans frigidaire, parce que c’est un Ryobi le laveur haute-pression) est plié en 1h à peine. Le reste du temps c’est les finitions. Le pont, le roof, le cockpit. Désabler et ranger l’aussière de mouillage. écoper et éponger la cabine et le coffre du reliquat d’eau qui est entrée la nuit où le bateau a été bousculé. Je n’ai même pas rangé la cambuse en vrac.

Je peux observer en détail les dégâts sur la coque. Je découvre aussi que la peau a perdu une escalope de fibre. Pas grande mais profonde. C’est pas joli… Mais c’est de la bonne construction : on va réparer tout ça !

Je procède au rincage du moteur. Pendant quoi je dépose et plie la GV. La pluie s’intensifie. Il est temps de plier cette session post-mise au sec.

La suite avec l’expert d’assurance…

Quelques photos