Juste un convoyage

La bruine persistante, qui sera décidément le climat caractéristique de la première quinzaine de juillet 2000, persiste. Les campeurs s’en rappelleront. Ce matin, je me suis fait convoyer à Arcachon par Vincent avec sa petite vedette. Et vers 19 h, après une journée en pleine forêt dans la cabane familiale, je quitte le port d’Arcachon, où la bateau a passé la semaine. A bord, un équipier : François. La chance nous sourit : c’est le moment précis où le ciel se déchire, le vent se lève et la pluie s’arrète. On aura même un beau soleil rasant sous les nuages ! En moins de 2 h de navigation, c’est plié, l’Iboga a retouvé son port d’attache.