Baignade à Bancot

Plan de coupeC’est la canicule aussi au Ferret en ce samedi de pleine saison. Départ prévu au montant pour chercher de l’air sur l’eau.

Ah, mais d’abord, nettoyage de l’Iboga maculé de projections de sable et un cadavre puant de méduse infestant le fond du cockpit :-(

Un peu plus tard le vrai départ. Baignades mais pas d’air. La GV fait de l’ombre, le moteur et le courant assurent la propulsion. Le cap est mis sur le Bancot.
Sur site, nous sommes hélés par une maman sur son bateau à moteur : Papa et ses deux bambins sont partis à la dérive ! Continue reading

Nuitée à Saous et, #NNDD !

Le premier WE avec une prévision météo estivale. À ne pas rater. Samedi la marée commence par une déception : j’ai mal évalué la marée et le bateau ne flotte plus à mon arrivée à 13:20. Je devrai attendre 19:30 voire 20:00 pour partir. Même pas assez de vent pour aller kiter à l’océan… Alors contre mauvaise fortune bon cœur.
Deux heures de bricolage pour commencer, reconstruire le rack sur lequel reposent les longs objets : la perche, le tangon, le taud roulé, l’aviron, la gaffe…

Bricolage : reconstruire le râtelier. 2h quand même ! #talent #deuxmainsgauches

Bricolage : reconstruire le râtelier. 2h quand même ! #talent #deuxmainsgauches

Puis casse croute. Puis bouquinage au soleil. La visite de mon voisin au Saxo vert ; en plus de partager notre zone de mouillage, nous avons queques amis en commun dans l’aristocratie du Snipe en particulier et une passion pour le petit croiseur sur le bassin. Le temps passe vite.
La journée se tire. Plus grand monde sur l’eau. À la VHF, quelques amis — Bonaire, Mouille-Col — coordonnent leur navigation de conserve. Ils sont devant Lavergne… à Péreire… à la Chapelle. Et ça y est, l’Iboga flotte ! Il y a 15 mn que j’avais tout hissé et bordé. Le bateau démarre comme une flèche !

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Gusty ride

Reliez les points suivants par des bords de près, travers et largue, pour voir se dessiner la route de l’Iboga, sachant que le vent principal était Ouest 3 bft et les risées fréquentes, plutôt longues, NW 4 bft : Ferret – les passes au droit de la pointe – Ferret – La Vigne – Piraillan – Piquey – Graouères – Ferret.

Reliez les points et découvrez le magnifique véhicule qui se cache sous ces énigmatiques traits...

Reliez les points et découvrez le magnifique véhicule qui se cache sous ces énigmatiques traits…

Un jour sans pluie ! Fin mai… Ça ne se rate pas.
La marée commence avec un sacré équipage : en plus de Manou et du Patron, les kids, Henri, fx et Antoine. Comme ces derniers ont un emploi du temps chargé — vous savez ce que c’est, à 11 ans… — il est prévu de les ramener à terre vers 13:00.
Quitter l’escoure du phare au moteur, Antoine à la barre, jusqu’à trouver assez d’eau pour porter bout au vent et hisser la GV. Déjà arrisée, la GV. Puis cap au sud. débridé. Henri à la barre.
Les risées sont vraiment fortes : prise du 2d ris sans tarder. Puis envoi du foc n°1. Le bateau fonce au travers, en direction des passes. Passée la pointe, un peu de houle. Une traitre de vague claque sur la coque et arrose l’équipage et la descente. Ça calme ;-)

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La saison #18, c’est parti !

Alors voilà, terminé le carénage dans la prairie d’Eric et Muriel, alias « Chantier naval de l’Iboga ». Les travaux cette année incluaient une dépose-repose des hublots dans l’espoir d’une étanchéité plus durable. Le reste, rien que d’habituel maintenant. Ah, si : tenter de faire disparaitre les traces de frottage des deux côtés de la coque, parce que l’hivernage à Bertic n’a pas été sans de pénibles promiscuités… Mais c’est fini, le bateau est porté jusqu’au port ostréicole d’Arès — une première, et bien pratique encore — et jeté dans l’estey. C’est la PM-1, petit coefficient. Un petit vent du nord bien frisquet, un grand soleil ; vivement la voile pour en profiter…
Assez d’eau pour tracer direct via l’estey du Curé, jusqu’à Madone. Il est 14:00.

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Transhumance d’automne

Pas très sympa le courier que les plaisanciers reçoivent début octobre de la mairie, leur rappelant qu’ils doivent dégager du corps mort avant le 31 octobre faute de quoi ils s’exposent à un refus de renouvellement pour la saison suivante… Quand on sait que les zones de corps morts sont saturées, que la mairie est poussée par l’État à supprimer des postes de mouillage, on ne plaisante pas avec cette menace…

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Jouët 680 + Dufour T7 = une marée familiale

Le samedi à terre. Sur l’Iboga : Manou & fx. Le RV en fin d’après-midi sur l’eau vers les Arbousiers avec manue, Roland, Camille et Léonie embarqués sur leur nouveau Dufour T7. Quelques hésitations avant de nous retrouver sur le plan d’eau, puis descente de conserve vers Arguin pour la nuit. Vent arrière, descendant.
L’arrivée devant le banc à la nuit tombante, juste à temps pour trouver la passe et assez d’eau pour rejoindre le mouillage.

En route pour une nuitée à Arguin à bord de l'Iboga. #voile #capferret #pyla

En route pour une nuitée à Arguin à bord de l’Iboga. #voile #capferret #pyla

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Arguin et puis c’est tout

Manou et ses poussins forment l’équipage de l’Iboga ce beau WE de septembre
Samedi midi, PM+1 départ du Ferret avec le courant, direction Arguin
Voile, vent de sud
Chaleur irréelle
Foule de bateaux dans la grande conche sud (et le long de la passe sud, en arrivant). Etonnamment, aucun bateau dans la « bassine », du jamais vu pour moi. Certainement par peur de rester coincés du fait des coefficients allant en se réduisant.
Nous trouvons, à la voile, au slalom, une place dans la conche non loin de 2 autres Jouët 680 échoués bord à bord : le Gaillard et Hélios.
Taud sur la bôme
Casse croûte à bord

Iboga, le Gaillard, Hélios : 3 Jouët 680 mouillés pour la nuit à Arguin :) #septembre

Iboga, le Gaillard, Hélios : 3 Jouët 680 mouillés pour la nuit à Arguin :) #septembre


Siestes sur plage et autres activités de baignades, plongeoir, conversations de filles
Rassemblement dans le cockpit
Le plus gros de la foule quitte la conche avec le retour de l’eau
Resteront quand même plus de 50 résidents, jamais vu autant (rappel de certains 15 août au même endroit avec peut-être 4 bateaux autour)
Apéro-dîner champagne, charcuteries, melon, coucher de soleil. Moment d’exception.
Installation pour la nuit dans le petit bateau. À 5 c’est au chausse pied mais ça tient ;-)
Nuit avec marée montante puis basse à 05:00 puis remontante. Plan d’eau calme. par contre le confort des couchettes de l’Iboga laisse à désirer ; faut trouver quelque chose. Des idées, vous ?
Le lever du soleil derrière la dune, le petit vent de sud, la baignade dans le chenal avant de revenir profiter du petit-déj à bord. Normal.
L’escalumade qui surgit poussée par le vent de sud. Épais brouillard sur la conche…
La matinée, chacun sa priorité : Morey dans le ressac des passes, finir sa nuit au fond du bateau, bouquiner…
Bientôt midi, le moment de partir : éponger le taud, ranger la cabine, débarrasser le pont, quitter le mouillage au moteur, envoyer ls équipiers hisser la GV puis le génois, couper le moteur et glisser l’Iboga entre les parcs, vent de travers tribord amure, jusqu’au chenal.
Le choc de la transhumance frénétique de dimanche midi : les centaines de bateaux à moteur au taquet, par 2, par 3, les troupeaux de jetskis énervés… avec le vent arrière faiblissant, l’Iboga ne tient pas sa moyenne. La chaleur pousse quelques équipiers à se jeter à l’eau, profitant de la faible vitesse du bateau. Mais quand la vitesse tend vers zéro et la durée du trajet estimée à plus l’infini alors que nous n’avons qu’un peu plus d’une heure pour arriver avec sécurité au corps mort, il faut affaler, rembarquer les baigneurs et nous résoudre à lancer Yamaha.
Ainsi pendant une heure. Cap direct sur le phare.
Couper dans les parcs à l’arrivée pour éviter de slalomer entre les plongeurs.
Il reste en fait largement assez d’eau sous la coque, mais avec un coef exceptionnellement faible, de 30, il valait mieux prévoir large.
Crocher l’aussière. Finir rassembler les affaires, les convoyer avec l’annexe et plier le bateau pour la semaine.
Et finir notre passage au Cap Ferret par des activités les plus estivantes qui soit : un hamburger chez Nounours et une glace à Bélisaire.

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Casse croûte au mouillage à l’Herbe

Vendredi, la veille de la 680 Connexion. Jacques, Manou et fx. Plutôt 2h que midi. Pétole. RV à la cale de la Villa Algérienne. Moteur le long de la côte, à contre courant, vers le nord. Prise de corps mort devant la cale. À terre, Christophe met sa « pibale », annexe motorisée, à l’eau et nous rejoint avec son fils FX et Henri. Ces deux derniers, 22 ans cumulés. Un jouet idéal cette pibale avec son 2CV ; bien utile aussi pour aller à terre acheter un plateau d’huîtres. La pluie menace : montage du taud. Grooos casse croûte bien arrosé à bord. Entre 2 plats, les kids sillonnent la zone de mouillage entre l’Herbe et le Canon. Et puis avec la renverse, comme d’habitude, le beau temps revient. L’occasion de quitter le mouillage à la voile. Les kids à bord tandisque la pibale remonte jusqu’à Claouey. Cap au sud, encore face au courant. Envoi du gréement de spi. Et retour sur l’escoure du phare où le manque d’eau est l’occasion de gratter la ligne de flottaison, avec le concours précieux d’Henri et FX, en prévision de la régate du lendemain. Puis attendre que le flot permette de rejoindre le bateau.
20120824

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