L’un de mes partenaires est en charge de l’AMO multimédia sur un projet de scénographie de parcours de visite (musée).
Il cherche à recruter, pour collaborer avec l’architecte, une structure qui puisse assurer la production et l’intégration de tout le multimédia du parcours :
– conseil sur le hardware multimédia ;
– conception et réalisation des éléments multimédia à produire (audio-visuels, animations, interactifs).
(Vous) (re)Connaissez-vous (dans) ce profil ?
N’hésitez pas à vous (ou me le) signaler en DM @fxbodin ou par mail, références à l’appui, pour mise en contact avec mon partenaire.
Ça a démarré par un message de q29surleweb sur une mailing list confidentielle à laquelle j’ai le privilège d’appartenir :
box.net offre 50go en ce moment aux utilisateurs d’ios, profitez en !
Du coup j’ai exhumé mon compte box.net de 2006.
Installé l’appli iPhone gratuite et activé les 50 Go, ça ne mange pas de pain.
Et puis je me suis rappelé pourquoi j’avais laissé tomber : la capacité de synchro avec un desktop est réservée aux comptes payants. Ce qu’on a pour rien avec DropBox.
There’s a Dropbox-like Box Sync client for Windows and Mac, but it’s available only to those who purchase Business or Enterprise accounts.
Pour de grandes capacités de stockage payantes (sauvegarde à la façon de Time Machine, avec Arq de Haystack Software) j’ai déjà de la place chez le Claude1 de Amazon (AWS-S3).
<update> Ayant reçu une mise en demeure de la part de l’éditeur de ce site de PA bien connu, Quentin a préféré suspendre le développement et la distribution de son application bien pratique. Son message :
…je suis désolé de constater que ce que j’estimais être un outil pour mieux profiter de [ce site de petites annonces bien connu] est considéré comme « contrefaçon, concurrence déloyale, parasitisme et pratique commerciale trompeuse ».
(…)
Loin d’être abattu je garde mon énergie pour la création ! Surveillez mon site, il se peut que l’avenir soit passionnant.
Mon commentaire : une fois de plus, l’intelligence 1.0 à base de mises en demeures et d’intimidation a pris le dessus sur une analyse créative au terme de laquelle, peut-être, cet éditeur aurait pu proposer à Quentin de lui acheter l’appli pour la publier sous sa marque (avec ses pubs…) Ça m’inspire la relecture de l’essai de Jean-Marie Pelt : La Raison du plus faible </update>
J’ai eu le privilège de participer depuis un mois au beta test privé de cette appli modeste et géniale : « [beeep] », développée par Quentin « @TokiWoki« . [beeep] veille pour vous dans les petites annonces
Ce qu’elle fait : vous prévenir quand un bien, un objet que vous cherchez est mis en vente sur [le site de petites annonces bien connu].
Avec [beeep], vous entrez vos critères : ville / département / région ou toute la France, catégorie, mots clés… Si ça se trouve, votre recherche renvoie l’article que vous cherchez, il ne vous reste plus qu’à finaliser la transaction avec le vendeur. Autrement — vous n’avez pas trouvé immédiatement l’objet idéal — vous enregistrez la recherche puis [beeep] veille pour vous : il scrutera régulièrement [le site bien connu] à votre place.
Consultant fonctionnel expérimenté, j’interviens en général en assistance à maitrise d’ouvrage (AMOA) ou en conduite de projets digital. Mes domaines de prédilections sont le Web, les intranets et extranets, le web social, le community management et l’éditorial.
Une sélection de mes missions en cours et récentes :
Le centre culturel et touristique du vin adopte son architecte – 13 mai 2011
Centre Culturel et Touristique du Vin (CCTV), élaboration de la stratégie de services et applications digitales visiteurs et exploitation, front et back-office, infrastructures, budget, organisation, impacts scénographiques et architecturaux de cet équipement dimensionné pour recevoir 400 000 visiteurs. (en partenariat avec Cap-Sciences – en cours)
Cap Sciences, AMOA de la conception et de la programmation, puis coordination des développements et pilotage de la mise en œuvre du dispositif modulaire de visites interactives personnalisées « Navinum » (déploiement en cours)
Étant frappé de trouver encore autant d’entreprises et au sens large d’institutions présentes sur Facebook sous forme de profil individuel au lieu d’une Page1, je vous propose ce petit point de rappel.
Bien sûr, nulle discussion sur l’opportunité d’aller à la rencontre de son public / marché et pour ce propos, Facebook peut souvent s’avérer une excellente plate forme de conversation avec les gens.
Tout naturellement, la personne au sein de l’institution qui débute sur Facebook créera son profil personnel sous lequel il apprendra les us et coutumes de ce réseau social, rassemblera ses « amis » et partagera avec eux status, liens, photos, commentaires et « likes ». Et tout spontanément, quand viendra le moment de créer une identité de l’organisme sur Facebook, il reproduira son parcours en créant un nouveau compte. Mais déjà, se posera la question : je mets quoi dans Nom et Prénom ? Et dans date de naissance ? et dans éducation… ? Bah, je m’arrange avec le formulaire, ça ira bien. Et la chasse aux Friends est ouverte…
Update du 26/07/2011 : Après avoir une fois de plus en désespoir de cause reconstruit les meta tags censés inscrire mon site dans l’Open Graph Facebook, sans apparemment avoir rien changé, oh, surprise : URL Linter – service de validation et de ping de Facebook – répond OK. Sans trop y croire, je teste le bouton Recommander sur la page et… il se comporte comme prévu : il me reconnaît comme administrateur et me présente le lien pour administrer la page-miroir du site.
Billet rapide et pour mémoire, réservé aux bricoleurs comme moi qui s’amusent avec l’API Open Graph de Facebook. Je veux dire, inutile pour l’utilisateur final.
Voilà, j’avais mis en application la marche à suivre donnée par Facebook pour inscrire un site web dans l’Open Graph, c’est à dire pour donner à mon site les caractéristiques d’une Page Facebook. Cette intégration permettant principalement de connaître et d’entrer en contact avec les visiteurs ayant cliqué « J’aime » / « Like » ou « Recommander » sur le site.
Cette superbe fenêtre ouverte sur les monceaux de données d’enquête du Global Web Index permet de comprendre les internautes utilisateurs du Web social : motivations (ce qu’ils cherchent, ce qui les amène à utiliser des services en ligne), usages (ce qu’ils font effectivement) et réceptivité aux actions en ligne des marques.
Une login box de Basecamp dans votre intranetLe produit en développement depuis 4 mois était livré et en prod à 80%. Déployé sur le projet pilote. Le reste dans les tuyaux.
Du coup, les commentaires, critiques, suggestions d’amélioration et d’évolution allaient bon train parmi les potentiels utilisateurs et prescripteurs du produit (en fait, plutôt une plate forme de services susceptible d’être déployés de façon modulaire sur de futurs projets).
Bon signe, si le produit fait causer.
Afin de comprendre les déterminants du choix d’un canal de partage de contenu par les internautes, Nielsen a analysé 10,000 messages sur les médias sociaux, et sondé plus de 1000 internautes membre de son panel. L’enquête date de décembre dernier.
Il en ressort que l’e-mail, n’en déplaise aux enthousiastes du web social1, reste largement le canal de partage préféré. Toutefois, il n’est pas tenu compte, semble-t-il, de la complémentarité grandissante entre les types de services en ligne : sites de partage + alertes e-mail, messagerie intégrée aux sites sociaux… un peu plus complexe, peut-être ?