George Colony, CEO de Forrester Research (cabinet d’études souvent cité sur ce blog), intervenait jeudi 8 décembre sur la grande scène de LeWeb. Son propos en 3 grandes lignes, ses « Social Thunderstorms » : 1°, le web est mort, il redevient un internet des applications (le « re- » est de moi ; nous reviendrons sur ce passionnant et fertile postulat), 2° le web social est saturé, objet de la présente note, et 3° la grande opportunité créée par la diffusion du social web dans les entreprises, mais cela, notre camarade Bertrand Duperrin nous en parle depuis, oh… 2005, Bertrand ?
Catégorie : e-business
Dans cette catégorie, les billets relevant de la sphère professionnelle.
Si vous me faites l’amitié de me suivre, vous savez donc que j’ai eu la chance d’être invité par hasard et par la compagnie internationale des machines pour les affaires — IBM1 — à Le Géraldine & Loïc le Meur Conference dite « LeWeb » millésime 2011 et 7e édition.
International Business Machines ↩
Les 10 leçons du blogueur Om Malik
Après la phase de constitution des équipes, voici donc les « lémuriens néo-pop » réunis pour imaginer une expérience de visite de la salle des sièges contemporains, sur la base en principes, du pitch qui nous a réuni.
Nos premières réflexions bouillonnent
De prime abord, dans cette salle, il y a des dizaines de sièges. Près de 70, en faits. Tabourets, chaises, fauteuils, chauffeuses… De très rares et de très banals. Ce qui est impressionnant, c’est le nombre, les couleurs, la diversité de formes. Mais, pourquoi s’intéresser, s’attacher plutôt à l’un de ces sièges plus tôt qu’à un autre ?
On a envie de capter les sensibilités des visiteurs, que les participants aient envie de parler des chaises.
On se demande comment on va leur faire aimer les chaises, mais si ça se trouve ils les aiment déjà ; du moins ceux qui rappellent des souvenirs familliers, familiaux, des séjours, des salles d’attente, des réfectoires…
Les 11, 12 et 13 novembre dernier se déroulait au musée des Arts décoratifs une expérience inédite : Muséomix.
Le musée mettait à disposition 11 de ses salles, l’espace de sa bibliothèque, et des interlocuteurs : conservateurs, guides, médiateurs. Les organisateurs, eux, mettaient à disposition : un scénario à l’épreuve des balles, de nombreux facilitateurs, des partenaires à haut niveau d’engagement (ping: la team Erasme / musée des Confluences), un catalogue de fantastiques ressources digitales plus ou moins intégrées, des Legos, des feutres et du papier, du feedback, des exigences, un timing… Et les participants, 70 sélectionnés sur 140 candidats, apportaient leur métier de professionnels de la médiation culturelle ou de designers mais, surtout, une forte motivation pour vivre l’expérience Muséomix.
À peine annoncée par Google (Google+ Pages: connect with all the things you care about) la disponibilité des Pages Google + corporate que voilà, maintenant je me retrouve à gérer 2 blogs, 2 pages et 1 profil Facebook, 2 comptes Google + perso et 2 pages Google +, sans compter Twitter, Tumblr, Flickr, Instagram et autres Posterous.
C’est abusé, yo !
Pas faux, autrement dit : ça sent la confusion, l’hésitation, la dispersion ou pire, la duplication répétitive robotisée. Rien de bon, quoi. Une mise au point s’impose.
Considérons qu’il y a plusieurs « identités » sous cet écheveau de e-présences sociales.
Il y a d’abord, pardon de commencer par moi, François-Xavier Bodin, l’individu, et puis le même, professionnel du conseil en stratégie digitale


La mission :
- intégrer un corpus de contenus validés
- effectuer d’éventuels complément de recherches
- faire comprendre les systèmes à partir des usages, de la réalité de vécu. Découvrir, comprendre, projeter une réflexion globale, avec une dimension pédagogique
- fournir les rédactionnels pour l’expo : affichages, titres, accroches, déclinaisons de micro-contenus, notices, consignes de démos…

Vendredi 21 octobre dernier se tenait l’étape bordelaise d’agile tour, cette conférence itinérante dédiée à la promotion et au partage des valeurs et méthodes agiles.
Déjà 2 gros mots dans mon billet : PO et agile. Zut. Je ne voulais pas faire une cours sur les méthodes agiles en général ni sur le rôle de product owner (PO) en particulier, j’en serais bien incapable.
Pour ceux que cela intrigue, une ressource de référence pourrait être le blog de Jean-Claude Grosjean Qualitystreet où je trouve justement une belle définition toute faite des méthodes agiles :
Une méthode agile est une approche itérative et incrémentale, qui est menée dans un esprit collaboratif avec juste ce qu’il faut de formalisme. Elle génère un produit de haute qualité tout en prenant en compte l’évolution des besoins des clients
L’un de mes partenaires est en charge de l’AMO multimédia sur un projet de scénographie de parcours de visite (musée).
Il cherche à recruter, pour collaborer avec l’architecte, une structure qui puisse assurer la production et l’intégration de tout le multimédia du parcours :
– conseil sur le hardware multimédia ;
– conception et réalisation des éléments multimédia à produire (audio-visuels, animations, interactifs).
(Vous) (re)Connaissez-vous (dans) ce profil ?
N’hésitez pas à vous (ou me le) signaler en DM @fxbodin ou par mail, références à l’appui, pour mise en contact avec mon partenaire.
Ça a démarré par un message de q29surleweb sur une mailing list confidentielle à laquelle j’ai le privilège d’appartenir :
box.net offre 50go en ce moment aux utilisateurs d’ios, profitez en !
Du coup j’ai exhumé mon compte box.net de 2006.
Installé l’appli iPhone gratuite et activé les 50 Go, ça ne mange pas de pain.
Et puis je me suis rappelé pourquoi j’avais laissé tomber : la capacité de synchro avec un desktop est réservée aux comptes payants. Ce qu’on a pour rien avec DropBox.
Ce que précise @cheapskateblog dans son billet sur C|net:
There’s a Dropbox-like Box Sync client for Windows and Mac, but it’s available only to those who purchase Business or Enterprise accounts.
Pour de grandes capacités de stockage payantes (sauvegarde à la façon de Time Machine, avec Arq de Haystack Software) j’ai déjà de la place chez le Claude1 de Amazon (AWS-S3).
oui, je sais : « cloud » ↩