Cogito et Iboga font route de conserve

Tout était organisé pour convoyer l’Iboga du Ferret vers la Barbotière ce beau samedi 2 novembre : transfert depuis Arcachon en navette UBA, puis traversée avec un vent parfait 20nds S-O, mise au sec à Gujan et enfin récupération de la caisse à Thiers. Las! Une tempête annoncée pour la nuit, une certaine Amélie, vient perturber le programme puisque l’UBA a jeté le gant : pas de navettes ce matin !
Pas glop, comme disait Pifou :(
Le contretemps et la contrariété, sont une chose, mais surtout c’est la perspective d’avoir l’Iboga qui affronte la tempête Amélie au mouillage. Même si son emplacement le met à l’abris du pros gros, j’appréhende une avanie hivernale…

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Peinture, mise à l’eau, armement et convoyage sur un bassin tout nu

Décidément, je suis à fond : je suis sous le bateau pour lui passer sa couche de peinture 2 jours plus tôt que l’an dernier. Pourtant, ça caille — peut-être 8° — les averses sont encore fréquentes, le sol est mouillé… Mais dès 10:00 ce samedi 5 mars, je suis à pied d’œuvre au chantier.

La coque après un coup de kärcher et une

La coque après un coup de kärcher et une saison


À part quelques cracoys résiduels, la coque est prête à peindre (bien sûr j’aurais pu combler puis poncer quelques rayures et accrocs les plus profonds, mais je n’ai pas le temps là).
Cette année, c’est de l’antifouling bleu, matrice dure je pense, contrairement à mes habitudes de matrice mixte, semi-érodable. On verra en fin de saison. Aussi, le masquage quelques millimètres au dessus de la ligne de flottaison, pour éviter la colonie d’herbe à la jointure de la nouvelle peinture de coque.
À 13:00, fin de la peinture, le masquage est décollé. Il est temps de casser la croûte.

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La saison #18, c’est parti !

Alors voilà, terminé le carénage dans la prairie d’Eric et Muriel, alias « Chantier naval de l’Iboga ». Les travaux cette année incluaient une dépose-repose des hublots dans l’espoir d’une étanchéité plus durable. Le reste, rien que d’habituel maintenant. Ah, si : tenter de faire disparaitre les traces de frottage des deux côtés de la coque, parce que l’hivernage à Bertic n’a pas été sans de pénibles promiscuités… Mais c’est fini, le bateau est porté jusqu’au port ostréicole d’Arès — une première, et bien pratique encore — et jeté dans l’estey. C’est la PM-1, petit coefficient. Un petit vent du nord bien frisquet, un grand soleil ; vivement la voile pour en profiter…
Assez d’eau pour tracer direct via l’estey du Curé, jusqu’à Madone. Il est 14:00.

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Casse croûte au mouillage à l’Herbe

Vendredi, la veille de la 680 Connexion. Jacques, Manou et fx. Plutôt 2h que midi. Pétole. RV à la cale de la Villa Algérienne. Moteur le long de la côte, à contre courant, vers le nord. Prise de corps mort devant la cale. À terre, Christophe met sa « pibale », annexe motorisée, à l’eau et nous rejoint avec son fils FX et Henri. Ces deux derniers, 22 ans cumulés. Un jouet idéal cette pibale avec son 2CV ; bien utile aussi pour aller à terre acheter un plateau d’huîtres. La pluie menace : montage du taud. Grooos casse croûte bien arrosé à bord. Entre 2 plats, les kids sillonnent la zone de mouillage entre l’Herbe et le Canon. Et puis avec la renverse, comme d’habitude, le beau temps revient. L’occasion de quitter le mouillage à la voile. Les kids à bord tandisque la pibale remonte jusqu’à Claouey. Cap au sud, encore face au courant. Envoi du gréement de spi. Et retour sur l’escoure du phare où le manque d’eau est l’occasion de gratter la ligne de flottaison, avec le concours précieux d’Henri et FX, en prévision de la régate du lendemain. Puis attendre que le flot permette de rejoindre le bateau.
20120824

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