Ce dimanche, j’ai réussi à distraire une demi journée pour caréner l’Iboga.
Temps frais, couvert à un peu pluvieux. Hospitalité d’Eric et Muriel parfaite, mais il faut s’arracher au digestif pour faire avancer le chantier…
Le livre de bord de l’Iboga, c’est le coeur de la chronique, le journal, le blog par excellence ; défiant résolument toutes les prescriptions des hautes écoles de la marine marchande et militaire, je n’y raconte que ce que j’ai envie et, s’il manque l’heure de la marée, l’isobarre, le nom du mécano, le connaissement du fret, et bien c’est comme ça. Par contre, les petites choses personnelles, les plaisirs partagés, la composition du pique-nique, les jubilations… ça, ils devraient y être.
Ce dimanche, j’ai réussi à distraire une demi journée pour caréner l’Iboga.
Temps frais, couvert à un peu pluvieux. Hospitalité d’Eric et Muriel parfaite, mais il faut s’arracher au digestif pour faire avancer le chantier…
Petit épisode, avec ce changement d’heure et la bringue de la veille, il ne faut pas démarrer trop fort : 3 heures sous un temps tiède et couvert. Alors je n’ai fait « que » gratter, mais entièrement à la main, cracoy par cracoy. La ligne de flottaison est encore très marquée aux algues. Comment la nettoyer sans abimer davantage le gelcoat ? Javel ? acide ?
Bon et bien enfin, l’Iboga a été pris en charge par Mairé Marine et transporté puis calé dans la prairie chez Eric et Muriel à Lège Bourg.
François-Xavier, l’Iboga et tout son équipage sont heureux de vous présenter leurs meilleurs voeux pour l’année 2006 :