Le premier point ne mérite guère de commentaire

Un dimanche à la campagne, bien occupé à 2 projets : vider le bateau et déposer la dérive.

Mais auparavant, un peu renforcer le ber avant car le bateau est un peu calé en équilibre et menace vaguement de bouger quand on le branle (voir le plan de travail dans le post précédent).

Le « film » de la dépose

Le second davantage car, grâce à l’expérience acquise l’été dernier la mise en place d’un palan efficace rend rapidement la tâche tout à fait faisable. Autre avantage : le bateau sur bers laisse le passage d’un cric permettant de soulager le palan en début de travail en soulevant l’ensemble au niveau de l’axe de la dérive. Et puis, un 12e de tour de winche, un recentrage de la dérive… les joues finissent par émerger (1). J’en saisis une et tire pour voir. Elle me reste dans la main : bouffée de rouille. L’axe est resté sur l’autre joue (4)… Retour au winche etc. La dérive est presque verticale, suspendue à son câble de relevage (3) ; l’autre joue est accessible et peut être déposée. Il ne reste plus qu’à laisser descendre la dérive en la recouchant – le tout depuis le dessous de la coque. Et la voilà couchée au sol (5). C’était pas plus dur que ça.En revanche, c’était pas moins pressé non plus quand on regarde l’état de l’axe de pivot (4) !

Certainement que j’aurai besoin de main d’oeuvre pour m’aider à positionner la nouvelle d’ici quelques semaines.

A suivre…

Ca peut servir : le scan d’une piteuse photocopie du plan de J. Berret (2.1 Mo)