Samedi 10 mars, RV pris pour +/- midi pour mise à l’eau.
Je me suis fait déposer au chantier à 10:00. Le bateau est déjà sur le ber hydraulique. Je peux gratter et peindre l’emplacement des patins (à peu près).
Samedi 10 mars, RV pris pour +/- midi pour mise à l’eau.
Je me suis fait déposer au chantier à 10:00. Le bateau est déjà sur le ber hydraulique. Je peux gratter et peindre l’emplacement des patins (à peu près).
Ça a commencé vendredi début d’après-midi : récupérer ma caisse de bricolage, et les voiles du bateau toujours entreposés chez Eric et Muriel. Puis me présenter au chantier Marine Océan / Atlantic Concept où le bateau réside depuis le renflouement de février 2014.
Ca c’est de l’efficacité : caréné dimanche, remis à l’eau jeudi et même mâté et haubans tendus (on verra le réglage sous voiles), à 12:00, grâce à la précieuse présence d’Edouard qui a pourtant du boulot sur sa pinasse…
Vendredi, comme annoncé dans le Wiki… est sur l’eau ce Week-end ?, je me suis rendu à Claouey ou le chantier avait amené l’Iboga le matin même. L’Iboga sur la petite plage entre la cale et le ponton du club nautique, l’eau montante… préparation du mât, constat que le moteur est encore plus naze qu’avant, avec un véritable trou dans le bloc par où s’échappe l’eau en abondance quand il consent à tousser ses cc d’ether pulvérisé… bref. Le bateau finit par flotter. Je le mène à la laisse de l’autre coté de la plage en un endroit plus pratique. Puis arrivent Eric et Muriel. Mâtage du bâteau. Zut, 2 ridoirs tordus… allez, il est tard, un restau, une discussion pour refaire le monde, un film et au lit.
L’Iboga est de nouveau au mouillage du Ferret après une mise à l’eau assez calamiteuse mais sans lourds dégâts… Calamiteuse : entre autres, j’avais « juste » oublié de réparer le pied de mat (rivets pétés, impossible à extraire sans un étau + perceuse sans fil et sans batteries…), aussi il n’a pas été possible de mater. Un peu plus tard, le lanceur du Mariner me restait dans la main… Et puis le Fly Dream de mon cousin dont j’avais emprunté le ber devait y retourner, mais – quasi à l’état d’épave, sa dérive restait pendante en bas, palan cassé ; pas évident dans ces conditions de le déplacer dans les 50cm d’eau de la conche de Claouey… Et pendant ce temps, Patrick – venu me prêter son concours inestimable et sa compétence reconnue – devait aller ouvrir son magasin* et s’impatientait… Mais bon, finalement, l’échange de bateaux sur la remorque a pu s’effectuer et c’est au moteur et non sous spi (comme le vent m’y aurait autorisé) que je suis redescendu avec le courant jusqu’à la plage du phare. Les voisins de l’Iboga qui ont profité de son absence pour mouiller ne sont heureusement pas trop-trop près.