Résumé : Tout sous GV seule. Vent Est 15-18nds. La rencontre avec #agaric680 et #patxi680. L’atterrissage au Mimbeau : 1er au spot avec 3 jours d’avance sur la date d’autorisation. Toujours ça de gagné.
Le RV pris, confirmé et re-confirmé, je me suis fait déposer par mon assistante-logistique (😘) au chantier avec une bonne heure d’avance pour finir la préparation du bateau : remontage de la bôme, gréement de la GV, ses lattes et ses bosses de ris, installation du moteur révisé (avec sa manette de starter cassée, ça va être sport tout à l’heure)…
Grégory se pointe avec son tracteur, sa remorque rouillée (les réglages se font à la meuleuse !) et son manitou. Le bateau est décalé et je peux poncer et peindre l’emplacement des patins.
Mes équipiers, Hélène et Jacques, sont prêts à monter à bord.
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Il est l’heure prévue, le bateau est poussé à l’eau. Le moteur, les gestes d’adieu au port de Meyran et cap vers la sortie du port.
Je me plante un peu sur le chenal, la dérive touche. Je suis parti trop droit alors que la première balise verte est un peu sur la droite.
Là, à l’ancre, le Jouët 680 Agaric de Frédéric, avec son équipière du jour. Il était convenu qu’il nous attendrait. Il est là. Ils sont en plein pique-nique.
Le programme d’Agaric pour le 26 février 2022
Le vent d’Est est assez fort, peut être 15 nds. Sur l’Iboga nous allons rester sous GV seule pour ce convoyage (c’est un peu l’inverse qu’il aurait fallu faire : au portant, la voile d’avant est toujours plus confortable, et pas de risque de bôme scélérate en cas d’empannage involontaire)
En route ! Agaric nous rejoindra plus loin.
Ça trace : les trépieds, longer la banc de la Matelle, Arcachon, la pointe du Tès, inflexion nord pour longer sous l’île. Voilà le Courbey. Nous allons prendre le temps d’un casse-croûte à l’ancre, en attendant Agaric.
La trace du 26 février 2022
Un peu plus tard dans le chenal de Piquey, rencontre avec le Jouët 680 Patxi, de Joël. Un champion du CVA !
Et il est temps de retrouver le corps mort avant qu’il ne s’assèche. En fait, on va arriver avec plus d’une demi heure d’avance. Le temps de tout plier, attendre que l’eau soit assez basse pour descendre à pieds sinon secs, du moins mouillés pas plus haut que les bottes.
Mes équipiers retournent à Arcachon par « la pinasse UBA ». Agaric a mouillé l’ancre dans la lugue, pour y passer la nuit. Quant à moi, je vais attendre mon assistance en regardant le spectacle toujours renouvellé du sud bassin au soleil déclinant. Avec l’Iboga en prmemière ligne.
Iboga a retrouvé son mouillage pour la saison 2022
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