404 Not Found

C’était une bien agréable soirée à Sylvosa entre cousins mais ils n’ont pas suivi pour cette marée : « en bateau tu n’as pas le temps de rien faire ». Tout juste Jean-Yves ! Mais pas de temps pour argumenter : la marée n’attend pas quand elle baisse.
C’est un fort coef. Donc beaucoup de jus. Et comme souvent en fin de matinée, le vent faiblard, E-SE. C’est juste assez pour traverser les bancs de sable jusqu’à toucher le Pyla, puis tirer de larges bords sans vigueur, le courant aidant. Pour finir comme souvent, par lancer le moteur pour finir la route. Ça va prendre quand même 3 heures cette descente. À l’arrivée, plus beaucoup d’eau dans la conche évidemment. Mais assez pour s’y incruster. Ce dimanche ne ressemble pas à la fois d’avant : je compte 14 bateaux dans la conche. Il fait pourtant aussi beau.
Il est plus que l’heure de déjeuner.

La mondialisation galopante

La mondialisation galopante
(clic pour toutes les photos de la marée)

Ensuite, c’est basse basse mer, grande promenade sud puis ouest qui m’amène, en contournant une zone de protection sans oiseaux dedans, jusqu’au chenal des passes. Baignade. Retour en bouclant la boucle. Tandis que l’eau montait : je dois nager pour rejoindre le bateau maintenant. Je sèche au soleil en hésitant mollement entre bouquiner ou m’endormir, quand je suis surpris par la visite de deux paddleur debout, leashés à leurs planches en carbone. Mathieu et Bruno arrivent du Pyla et font une pause sur l’Iboga. Un sandwitch bienvenu et quelques nouvelles échangées puis ils reprennent leur chemin, et quelques photos pour Instagram.
Peu après, l’Iboga prend la route du Nord pour en quelques bords car le vent est passé NW naturellement, rallier son port d’attache en passant par la balise 13.

Iboga @ Arguin 8 octobre photos Mathieu @estouki depuis sa 404

The Trace GPS
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