Cette année, l’édito est écrit à la fin ; en effet…
La saison 2002 est finie. Bilan :
19 sorties sur l’eau
Le livre de bord de l’Iboga, c’est le coeur de la chronique, le journal, le blog par excellence ; défiant résolument toutes les prescriptions des hautes écoles de la marine marchande et militaire, je n’y raconte que ce que j’ai envie et, s’il manque l’heure de la marée, l’isobarre, le nom du mécano, le connaissement du fret, et bien c’est comme ça. Par contre, les petites choses personnelles, les plaisirs partagés, la composition du pique-nique, les jubilations… ça, ils devraient y être.
Cette année, l’édito est écrit à la fin ; en effet…
La saison 2002 est finie. Bilan :
19 sorties sur l’eau
Hélène dans la descente
Un barreur très concentré
Mélanie, Julie, Alice, Hélène sur l’Iboga, pour cette brève promenade entre 14:00 et 17:30, à marée haute, hors des chenaux entre Claouey et l’île aux oiseaux. Il faisait beau et assez doux pour se baigner à l’arrivée.
Hé, non, ce n’est pas avec l’Iboga que nous sommes partis à Rivedoux, sur l’île de Ré, c’est en voiture. Mais il y a eu de la voile, sur le First 30 de Philippe, au départ des Minimes, pour une pause devant l’île d’Aix avant de rentrer dans un air bien mou.
Hélène, Alice, Julie, basse-mer dans Madone à 12:35 : pique-nique à bord, puis sortie vent arrière pour une petite boucle devant Claouey. Petite jounée, grands plaisirs d’être ensemble sur l’eau.
Dimanche, départ vers 12:00 de Claouey avec Hélène, Fred et Carole « légèrement » gripée mais motivée pour une ballade sur l’eau. Ces derniers envisagent l’acquisition d’un 680 ou d’un T7… c’est donc un motif pour essayer l’Iboga. Le même temps que la veille. Courant montant dans le nez, vent arière sous spi, on fait route vers les passes. Hélène en hotesse parfaite commente la navigation.
Après le repas, les pinasseyres se préparent pour la régate
Ce lundi convoyage du Mimbeau à Claouey avant d’aller passer quelques jours à Bordeaux (il faut au moins relever le courrier ! et puis, qui sait si les passeports pour le Maroc ne sont pas enfin prêts ?). Départ au montant, à 11:00. Route moitié sous voile – jusqu’à l’Herbe – moitié au moteur. Climat torride. Baignades… Vraiment pas envie de reprendre la voiture.
Belle journée sur l’eau au départ de Claouey avec Hélène, Richard et son amie Virginie qui n’a jamais mis les pieds sur un bateau. C’est la fin du montant et le thermique n’a pas encore décollé : promenade au moteur le long de la côte, par Piclaouey, le Four et Petit Piquey, puis on rattrappe le chenal de Piquey vers la Pointe aux Chevaux. Descente sur le Mimbeau où nous devons embarquer Maguy et Laurence. Le vent est là, le courant s’est inversé. Direction sous voile vers le banc d’Arguin. Evidement, un week-end de 15 août… les places sont chères. On mouille en double file, sans jamais cesser de surveiller d’un oeil les autres et ceux qui s’incrustent quand même. Pique-nique à bord… Enfin une parcelle de plage se libère : on peut faire beacher quelques instants le bateau pour débarquer l’équipage. Puis il faut l’écarter dans le courant pour éviter qu’il ne se pose et nous bloque là plusieurs heures. Café sur le banc avec vue sur la dune à l’heure où les bateaux à moteur reprennent « la route » vers Arcachon. Retour avec le montant, au près, jusqu’à la plage du phare, où l’Iboga passera ses prochaines nuits avec le mouillage tout neuf (6m de chaine de 8, 20m de cablot de 12 et manilles neuves) que je lui ai promis pour samedi.