L’Iboga en régate

Inspirés par Christian, skipper du Jouët 680 La Navalaise, que nous avions rencontré la veille sur le parking, nous inscrivons l’Iboga à la « ronde du bassin » organisée par le Cercle Nautique du Ferret. Le bateau est préalablement amené au bord du chenal pour être disponible 2 heures avant le départ. Mais au moment de prendre la mer, un innopotun vent d’est a collé le bateau sur le sable tandis que la mer se retirait ; argh ! Mais je ne suis pas le seul : un 590 un peu plus au large a le même problème…

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Retour au Ferret

A bord de la navette Bélisaire-Eyrac : Maguy, Hélène et myself

Un peu de marche à pied jusqu’au port de plaisance où le bateau nous attend. la pluie tombe à grosses gouttes. Le vent est bien mou à tel point que, face au risque de manque d’eau pour atteindre le mouillage à l’arrivée, nous nous résignons à finir la route au moteur… Rangement et débarquement dans 30cm à 1m d’eau, pour une pause dans ces petites et excellentes vacances arcachonnaises.
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Le Teich – Toulinguet – Ferret

Après la nuit passée au milieu du port du Teich nous avions résolu de quitter le port au petit matin pour pouvoir naviguer dimanche plutôt que de profiter de l’escale ornithologique et culturelle sous la canicule annoncée. Aussi, à 07:30 quittions nous ce mouillage d’un calme inhabituel (du point de vue de la houle et des remous), au moteur bien sûr, le courant descendant avec nous.

Première étape : la balise K11, face à l’entrée du port du canal pour une pause petit déjeuner. Quelle belle lumière de soleil levant ! Ah, une première moto-crotte (jetski) vient polluer cet instant, avec ce ridicule pilote les fesses rejetées en arrière ; pfff… Puis, sacs roulés, cabine rangée, vaisselle faite et pont débarrassé de sa rosée matinale, nous prenons la route des passes, sous spi. Très peu de vent apparent, encore réduit par la vitesse du courant de coëf. 94 ce matin. Le spi porte juste juste. La matinée étant avancée, de très nombreux bateaux débouchent des chenaux de Gujan, Tous à moteur, hormis un 590 avec lequel nous ferons route jusqu’au Mouleau. Mais en attendant, chenal haché de vagues d’étraves dont certaines fort discourtoises, ce qui ne manque pas de faire râler Hélène. (à suivre)
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