Samedi 19 et dimanche 20 mai : famille à bord

La saison a enfin démarré. J’ai donc sorti l’Iboga 3 fois, dont 2 ce we. Samedi avec Jean-Pierre, Vincent, Laurence, Sacha, Marie et Jan ; le courant de bout impose le programme : pique nique et baignade (rapide) à la pointe aux chevaux, raser l’île à la peine mer et rentrer à Claouey au dessus des terres. Vent erratique, faisant des sautes à 180° n’importe comment, force 2 à 5 en 10 mn… L’essentiel était dans l’équipage ; un moment privilégié.

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Samedi soir, le 5 mai : y en a des courageux…

J’ai vu le 680 de Denis, seul voilier sous le crachin affrontant la tombée de la nuit… tandis que j’étais sur un gros promène-couillon, le « Courier du Cap » de l’excellent Serge, accompagnant un cousin à sa dernière fête de célibataire. J’ai appris qu’il a passé la nuit sur l’eau ; bravo Denis. Je sais que je l’ai passée dans le rhum…

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Epave à Arès (bis) février 2001

Wouah ! J’exagère un peu oui. Je vous (me) rassure : le bateau passe une confortable lune (du 6 février au 11 mars) échoué volontaire très haut, sur la plage de Bertic (voir la photo en bas). Il va pouvoir sécher. Car il a quand même été un peu éraflé du gel coat en frottant une marée contre le perré de la plage d’Arès. On voit les tissus, mais point d’enfoncements ni de délaminage. Je vais pouvoir poncer la blessure et lui appliquer un voile de gel coat en guise de pansement avant que de le ramener au corps-mort.

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Deux équipières à bord

Une journée fort peu ventée s’annonce. Pas grave, j’ai le pragmatique Mariner bien (enfin… juste assez) accroché au tableau arrière. Autant le faire tourner. Si je me rappelle bien, le vent a fait mine de se lever au moment où on prenait un mouillage vacant devant l’Herbe, pour pique-niquer. Mais il n’a pas fait vraiment assez chaud pour plonger. Mes équipières ont tout fait ! Julie tour à tour n°1 à l’avant et à la barre ; Alice au GPS faisant le point (Disons qu’elle présente l’appareil bien haut pour que le satellite le voie. Comme je lui ai dis.)

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Opinion : de l’intelligence sur l’eau, à voile ou au moteur

Quel voileux, même le plus débonnaire, n’a jamais pesté contre un %÷\# ! de « promène-couillon », comme on dit sur le Bassin, qui passe, au taquet, trop près de son voilier, le chahutant péniblement ? Le pire, c’est dans le petit temps, alors qu’on tente délicatement d’établir ses voiles pour capter, dans un équilibre précaire, le peu d’air qui ferait avancer le bateau. Ou alors au mouillage le long d’un parc à huîtres, confortablement installé dans le cockpit en faisant un sort au saucisson et à la bouteille de Bordeaux. Ah ! vraiment, la peste soit de l’inconscient motorisé qui vous envoie alors son interminable série de vagues ! sans parler du bruit !

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