Claire et Laurent sont sur un bateau

Passer entre les cabanes

Passer entre les cabanes

Ce dimanche, à 2 jours de l’été officiel, marée haute de fin de journée. Une bonne occasion pour embarquer Claire et Laurent, qui réclament leur tour sur le mythique Iboga mais n’avaient pas honoré la précédente proposition. Il faut dire : un matin à 09:30 ;) En tout cas aujourd’hui, même s’il ne fait pas un temps super estival, nous embarquons au montant peu après le marché. Petit vent bien nord. Cap vers Claouey. Continue reading

Risées, clapot et RV sur l’eau

Ce dimanche de Pentecôte, enfin, un vent d’ouest – nord est normal. Belle occasion de passer la pleine mer sur l’eau.

Avec la marée, remonter le chenal de Piquey puis d’Arès, jusqu’à Hautebelle, en face de Claouey. Croiser la pinasse de Claouey La Légeote, sous 1 ris. Faire demi-tour jusqu’à la pointe de Graouères et embouquer le chenal de l’île au vent arrière. Le vent forcit, avec des rafales à 20 nds. L’Iboga porte toute sa toile. Anticiper le bord de travers qui arrive. Laisser la pointe du Congre à tribord et faire cap au sud ; prendre un ris dans la GV. Ça calme la bête. Choisir le chenal de Cousse. Croiser là une flottille de bateaux traditionnels — bacs à voile, canots mixtes, autres embarcations aux gréements auriques… un peu malmenés par les risées. Nombreux d’ailleurs sont au moteur. Apparement ils ont RV aux cabanes. Puis traverser le Teychan devant le port d’Arcachon. Hésiter à aller mouiller à l’abris du vent, dans la Canalette, derrière l’Aiguillon, mais choisir de remonter un peu pour mouiller sur le banc du Tès. Il est 13:30. Plus de 3 h de nave sportive en solo. Continue reading

Les portugaises ensablées d’Arguin

Une marée qui commence tôt : 09:30 au bateau.
Bon vent, encore de l’est. Bizarre.
Après une volte devant les Américains, cap à Arguin.
Le banc a bien changé cet hiver : la conche habituelle est méconnaissable. Je pose le bateau dans l’estey ensablé, tandis que la marée continue de baisser.
Ensablé, ce n’est rien de le dire : peut être 2 hectares de parcs à huitre ont disparu sous 1,5 m de sable ! Seuls les pignots dépassent… Une grande partie des parcs restants sont recouverts d’une chape de moules. Chantiers à l’abandon… Apparemment, l’hiver n’a pas ménagé les parqueurs. Continue reading

Petit aller retour Ferret – Piraillan pour la fin de journée

On est arrivé un peu tard de Bordeaux pour profiter de l’embouteillage monstre qui a retenu jusqu’à 3 heures durant ceux qui voulaient profiter du premier jour de chaleur de l’année et du WE de 4 jours. Bah, nous on a eu seulement 20 min de retenue à Martignas puis 1/2 h à l’entrée de la presqu’île… Du coup on est arrivé, Manou et moi, encore assez tôt pour embarquer sur l’annexe (en se mouillant les fesses à cause du ressac), rallier l’Iboga et profiter d’une petite marée haute. Continue reading

Peinture, mise à l’eau, armement et convoyage sur un bassin tout nu

Décidément, je suis à fond : je suis sous le bateau pour lui passer sa couche de peinture 2 jours plus tôt que l’an dernier. Pourtant, ça caille — peut-être 8° — les averses sont encore fréquentes, le sol est mouillé… Mais dès 10:00 ce samedi 5 mars, je suis à pied d’œuvre au chantier.

La coque après un coup de kärcher et une

La coque après un coup de kärcher et une saison

À part quelques cracoys résiduels, la coque est prête à peindre (bien sûr j’aurais pu combler puis poncer quelques rayures et accrocs les plus profonds, mais je n’ai pas le temps là).
Cette année, c’est de l’antifouling bleu, matrice dure je pense, contrairement à mes habitudes de matrice mixte, semi-érodable. On verra en fin de saison. Aussi, le masquage quelques millimètres au dessus de la ligne de flottaison, pour éviter la colonie d’herbe à la jointure de la nouvelle peinture de coque.
À 13:00, fin de la peinture, le masquage est décollé. Il est temps de casser la croûte.

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