Mimbeau – Toulinguet – 44

Arrivés vendredi soir à la tombée de la nuit.
Première marée depuis 1 mois. Plein de petites surprises laissées par l’équipage de la pentecôte (faut que je documente mieux certaines procédures à l’avenir).
Découverte d’un souci de dérive, qui ne remonte plus assez pour être goupillée. Ça craint ; d’autant plus que je n’ai pas révisé le bout de relevage depuis que je l’ai posé en remplacement du câble… À voir demain au jour.
Pizzas et banette !
Le bateau flotte tranquillement dans la Lugue, à l’abris de tout ressac.
Au matin, après la basse mer, l’équipage rejoint la civilisation pour un petit déjeuner chez Lemoine, et le plein de bonnes choses et de rencontres sympa au marché.
Puis route vers les passes. Arguin ? Ça ne va pas être possible : malgré le descendant, un fort ressac déferle le long du banc. Demi tour et remontée vers le Toulinguet. Bords face au vent et au courant. L’Iboga remonte en de larges bords pas tout à fait carrés (mieux qu’un Gib Sea 68 sur la même route).

Depuis l'intérieur de la conche du Toulinguet 2017

Depuis l’intérieur de la conche du Toulinguet 2017

La nouvelle conche ultra profonde au milieu du petit banc du Toulinguet qui peut accueillir les plus grands tirants d’eau. Pas mal de monde du coup, pour un samedi. Il fait si chaud !
Au milieu du banc, depuis 3 ans (?) la végétation progresse. Bientôt des pins ?
Révision du palan de dérive donc. Ça finit par aller bien : la dérive remontée à bloc se présente bien pour la goupille.
Le retour normal, sauf cette spectaculaire cérémonie de mariage chinois, sous une gigantesque tente, à la pointe. Arrivée un peut tôt sur l’escoure du phare. Il faut être patient pour rentrer le bateau dans la Lugue pour son 2e mouillage du week end.
Ce soir nous ne sommes plus seuls contrairement à la veille.
L’annexe à terre dispo pour notre retour après une soirée qui s’annonce festive aux 44.