Pourquoi un Jouet 680 est-il ardent et gîtard ? Pour une raison : la GV est trop puissante. L’analyse amène à plusieurs solutions (je demande pardon aux ingénieurs en aéro et hydrodynamique, mes mots ne sont peut-être pas appropriés) :
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Le dématage (accidentel)
En 1999 (si mes souvenirs sont bons) à Claouey, les propriétaires d’un 680 le remettent à l’eau après l’hivernage, ils sortent par une belle journée et reviennent une heure plus tard avec le mat couché, plié sur le bateau. Dans leur cas, c’était un sertissage de tête de bas hauban qui avait cassé.
Vendredi 14 juin 2002 : baignade à la Vigne
Sortie avec capt’ain Fred : cap sur le banc de la Vigne
courant contraire
huîtres au pique-nique
baignade
Jeudi 13 juin 2002 : les 5 sirènes de l’Iboga
12:30, s’échaper vite de l’estey qui menace de scotcher mon bateau. La couverture nuageuse est encore là, préservant une agréable fraicheur, mais elle se dissipera vers 14:00
Dimanche 12 au jeudi 16 mai : Iboga enfin P.A.F. (prêt à flotter)
Après plus de 5 mois d’hivernage, à l’ancre et à l’abris des vents d’ouest sur la plage de Bertic, l’Iboga a failli être à l’eau ce jeudi 16 mai, n’aurait été cet avis de forts coups de vents sous orages annoncés pour le week-end.
Cartes postales anciennes
La magnifique collection de cartes postales de Noël Courtaigne : Arcachon et le Bassin d’hier et d’avant-hier, comme si vous y étiez !
Samedi 27 octobre 2001 : heure d’hiver
Il semble qu’Hélène n’a pas été écoeurée par l’Iboga dimanche dernier puisque en ce beau samedi de fin de saison, elle a renoncé à une promenade à bicyclette dans les Graves en contrepartie d’une après-midi sur l’eau.
Dimanche 21 octobre 2001 : Rater un train sur le Bassin ?
Sept semaines sans naviguer sur l’Iboga ! Le nouveau safran jamais essayé… Frustré du week-end précédent, qui n’avait jamais vu se réaliser l’Avis de Tempête à cause duquel j’avais renoncé à voiler. Météo prise de la veille : fin des précipitations à partir de 12:00, arrivée du soleil dans le courant de l’après-midi et vents force 6 secteur sud-ouest au large, allant en faiblissant. Aujourd’hui, le skipper prend ses responsabilités en décidant de sortir quand-même.
Dimanche 2 septembre 2001 : Bernet
Julie, Alice, Marie, Marcelo, Patrick. Spi entre Claouey et Grand-Piquey. Basse mer et début du montant au banc de Bernet, pique-nique, café, baignade, sieste. Teychan , Mapoutchet, traversé de la matte jusqu’à Hautebelle (plus rapide que de remonter le chenal de l’île à contre courant en tirant de nombreux bords ; mais nécessite une marée assez haute). arrivée en pleine régate de pinasses des Festivoiles de Claouey. Arrivée à la plage. Montage du nouveau safran.
Mercredi 15 août 2001 : tour des hauts sous orage
J’ai fait de la voile seul ce mercredi des fêtes de la mer, entre pétole sous soleil de plomb et rafales sous grains orageux. Je n’en menais pas large sous les éclairs ! Au loin, Arcachon sous de violentes averses… Un joli tour dans les hauts du Bassin, à part ça : traversée, au moteur puis voile, des « argiles » jusqu’au chenal de l’Ile ; remontée sous spi (pour essayer mes nouveaux bras de spi en spectra et poulies de renvoi Harken, récup’ du Melges de Vincent) jusqu’au large d’Andernos par Girouasse, puis Moutchalette ; vers Lorbègue, rentré le spinaker (devenu intenable avec les sautes de vent et passage au nord-nord ouest), cap au 330 vers Arès via la belle plage aux cygnes de Sant-Brice, barre amarée, le bateau se gouverne seul ; fuite devant l’orage et gestion de la dérive qui a tendance à toucher souvent sur les hauts-fonds : la marée a commencé à descendre ; l’orage ratrape l’Iboga au large d’Arès. Je capelle le ciré et fais cap sur Jane de Boy, au nord de Claouey. Puis, de retour au corps mort, rangement du bateau et sieste en attendant que la pluie cesse.