Que faisaient au Node vendredi soir dernier ces 50 développeurs, ingénieurs, artistes, designers, cogniticiens, cinéastes, architectes, graphistes, gamers, scénaristes, UX designers et autres curieux ?
Quelle motivation faisait tenir une petite douzaine encore à 3h dans la nuit de samedi à dimanche ?
Comment après 24 heures, ces hologrammes, jeux vidéo d’un autre siècle actionné aux… exclamations, cette portée musicale humaine ou ce chemin de mots sont-ils sortis de l’imagination pour devenir prototype, preuve de concept, expérience, scénarios ?
C’est la magie du hackathon, lancé par Alex Vallette et Tim Buisson dans un billet sur Médium il y a un mois.
Revenus de Bristol, les yeux plein de « playable city » et l’envie d’un « jouable Bordeaux ». Réunis autour d’un Slack, puis d’un groupe Facebook, de Twitter, enfin, c’est clair, ce sont des geeks.