Juste rentré à Bx, rapport à un horaire de train, direct du Mimbeau, à peine l’Iboga amarré à sa bouée. Dur le choc. Surtout que le vent daignait enfin entrer après une journée plus que molle quoiqu’ensoleillée c’était un minimum. Du coup, plutôt que d’aller dériver ou faire rager le moteur dans le chenal, service minimum et pourtant hors du commun : pique nique le long du Mimbeau, côté parcs. L’approche sous GV seule vent arrière profitant du faible courant le long du banc. Un emplacement pas mal sud, là où poussent tant bien que mal les pins. L’ancre au large et une autre à la plage. L’interloquation face au dépôt de sable par les gros camions jaunes, sable pris dans l’estey de l’escoure du phare, avec corps morts perdus et autres déchets. Mais pour qui se prennent-ils ceux là qui prétendent « engraisser » la plage ? Pourquoi ne pas bétonner ou poser des autobloquants tant qu’on y est, ne serait-ce pas plus rationnel ? Bah… La promenade côté lugue puis côté bassin. La suite de la promenade puis le casse-croûte aux charcuteries des Capus : Serrano bien fondant, Salamanque et Chorrizo piquants, tomates de début de saison… Et puis c’est bientôt la pleine mer et déjà le moment de partir. Voilà le lundi de Pentecôte.
D’ailleurs, la méhari, elle a profité d’un bon coup de laveur haute pression (je dirais bien Kärcher, mais c’est un Stihl) et elle a retrouvé à peu près son blanc de la dernière fois. Par contre, l’étendue des dégâts de son état est préoccupant et je me prends à renâcler à la mener prendre son service à Arcachon : feux stops, autres feux aussi, clignos, essuie-glaces, tout invalide. Seul le feu de plaque fonctionne mais la plaque n’est pas bonne (nouvelle numérotation) ! Alors il y a soit du bricolage, mais quand ? soit encore un budget. A méditer.
Bon, pour le WE prochain, faut aussi que je retrouve mon macaron de mouillage, sinon, je vais avoir des ennuis avec les Autorités.