Samedi 14 septembre 2002 : Vieux gréements

pinasses
Après le repas, les pinasseyres se préparent pour la régate

Vent de secteur est – beau temps – même pas froid – 30° en milieu de journée.

Ce samedi, l’Iboga a eu le privilège de faire un tour de l’île en accompagnant les gréements traditionnels – pinasses et bacs à voile dans leur tour de l’île, régate de clôture de la saison. Les 4 bacs étaient là ! Pdt Pierre Mallet, Umbria, Les copains à bord et Escalumade. Un superbe départ, avec le spectaculaire lever des voiles, depuis Mapoutchette en face des cabanes tchanquées. Une course en partie avec le courant descendant – Mapoutchette au largue, Teychan et le Courbey au vent arrière (Iboga sous spi bleu-blanc-rouge ; c’est pas moi qu’a choisi… j’l’ai trouvé comme ça), puis au près et à contre courant dans le chenal de Piquey et chenal de l’île. Malheureusement, au départ, l’Iboga gèné au lof par un pousse couillon masque le vent à la pinasse barrée par Gillou qui m’engueule copieusement (tu m’en veux encore, Gillou ?).

En outre sur l’eau, le grand cata d’Herber, Jean-Louis et François, le 590 de 1968 (l’année) avec son mat en bois récemment acquis par le même François qui retourne aux sources, ainsi que le 680 de Pascal avec son « drôle » à bord.

Auparavant, c’était apéro/pique-nique/café et baignades dans les eaux tièdes de l’île aux oiseaux. A bord de l’Iboga, encore que des filles : Hélène, Valérie et Véro, dont c’est la première sortie sur un bateau, hormis un ferry. Rendu à Graouères, il est trop tôt pour avoir envie de rentrer, alors on continue le tour jusqu’à la pointe de Garèche (angle des chenaux de Girouasse et du Courant) puis encore le chenal de l’île puis le chenal d’Arès et enfin de Lège, la route habituelle jusqu’à l’estey de Madonne.

Arrivée à 20:00 le soleil vient de disparaitre derrière les pins ; ça repose la peau.

Publié originellement sur le site statique des Chroniques de l’Iboga