Le grand huit parfait

Après une journée de lundi passée à sécher au travail (cf. la sortie « humide » de samedi), c’est le 1er mai. La météo clémente nous motive, Emmanuelle et moi à profiter du bateau et du bassin encore peu fréquenté.

Le vent, il aura été si je me souviens bien, variable entre 3 et 5 bft. Mon équipière à la barre du ferret à Arcachon. Le casse croûte pendant la remontée du Mapouchet, au bon plein tandis que le vent forcit. Le Chenal de l’île au près serré mais sur un bord, en empiétant un peu sur les bords du chenal. Mais il y a assez d’eau, c’est permis. D’ailleurs, une bonne vue du parcours sur la trace bleue sur la Google-carte satellite de la marée. Après comme c’est cool et qu’il y a encore le plein d’eau sous la dérive, c’est l’incursion en terres piqueyoises et jacquetoises, pour déboucher devant Claouey en arrivant de la dune perdue (là, la main sur le palan de dérive, quand même). Le vent est passé S-SW. On dessine la petite boucle du 8 pour rejoindre le chenal d’Arès et recroiser notre trace devant Graouères (trou dans la trace GPS). Et tirage de bords avec l’aide du courant maintenant, pour rejoindre le Ferret.

Enfin une sortie normale !

Les Hirondelles

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