Lendemain de 1,5 jour de bringue et voile traditionnelle, besoin de silence, de repos, de solo.
La marée ne me laisse pas le choix de l’horaire : je dois décarer à 10 heures pétantes. Même pas le temps d’aller chercher du pain. C’est coëf de 101, autant dire qu’il y a un sacré jus et avec ce vent très moyen, il est hors de question de choisir son trajet.
Ce sera donc Arguin.
Alors que le bateau déboule vers le sud, il me prend l’idée d’aller chercher mon pain au Pyla. Et pourquoi pas ? Alors je fais demi-tour et bataille un peu contre le courant pour remonter assez pour passer entre les bancs de sable qui encombrent le grand chenal entre le Cap Ferret et la côte Moulleau-Pyla. Continue reading