Prévue de longue date, annoncée à la conférence d’avril, cette concentration historique était organisée par Joël, de La Bulle, pour l’association des Jouët 680.
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08:30 au mouillage. Le soleil se reflète dans la coque. Brume. Petit vent nordet et frisquet. Le temps de s’équiper et de préparer le bateau, la marée est montée. C’est un petit coef 42 avec PM de mi-journée. Retour prévu au descendant, 3h au plus tard après la PM.
22:00 vendredi soir, à la nuit, décharger le T4 et tout porter au bateau échoué : couchages, paniers de victuailles, vêtements de mer, trousse à outils, kitesurf… Retourner à terre se faire une pizza chez Joël. Retourner au bateau, s’installer pour la nuit. Attendre que la marée finisse son œuvre archimèdienne pour mener le bateau dans la nuit noire jusqu’à une bouée dans le chenal et ainsi être parés pour décarrer à la première heure. Passer la nuit là, assez confortablement sauf vers la fin, vers les 5 ou 6h du mat, quand les premiers pécheurs rejoignent leurs site, produisant les premières vagues artificielles de la journée… Mais dans l’ensemble une bonne nuit et au matin, le WE peut commencer. Petit déj dans le cockpit. Ah, oui, nous : Manou, son cadet Henri et zebigbos du bord.
1° déplacer le corps mort à l’intérieur de la zone autorisée sous peine d’encourir les foudres de la police des mouillages municipaux ;
2° embarquer la petite famille de Corine et Olivier pour une découverte de l’île aux oiseaux.
Le reste est open.
Autant le dire tout de suite : grâce au beau temps et au vent de force 4 soutenu, le programme sera non seulement tenu mais outre passé pour le plus grand plaisir de tous les participants et le mien aussi.
Ca commence vendredi en fin de journée, juste après un apéro chez quelques autochtones du village des pécheurs du Ferret à qui je viens d’emprunter une pelle. Continue reading →