Partir au montant, après avoir riveté le pontet de prise de ris pété hier
Prendre un corps mort vacant au Canon, attendre Manou
Embarquer mon équipière au ponton de la jetée
Traverser le chenal pour mouiller l’ancre sur le sable de Jeanne-Blanc, sur le platey ouest de l’île, le temps d’une baignade
Ça baisse
Descente au portant pour le retour au mouillage
Bref parcours Ferret – Canon au montant
Solo
Pas grand monde sur l’eau pour un quatorze juillet
Vent 5-6 bft rafaleux
Ris et foc n°1
Erreur de gréement (je souque le ris avant d’avoir étarqué la drisse de GV ; débutant !) résultat : le pontet de prise de ris saute ! Avarie ! Mais pas bien grave, je fais tenir le ris avec le câble de la bordure, le temps de rentrer
Sieste au corps mort
Manou me rejoint à vélo après la marée pour le concert à la cabane du Mimbeau
La (fin de la) villa Algérienne
La villa algérienne à l’Herbe, a été pendant plus de 100 ans un point de repère sur la côte, mais aussi une destination et surtout une maison de famille. Bâtie par Léon Lesca, testerin d’origine, architecte du port d’Alger où il aurait fait fortune, et lotisseur du Cap Ferret, elle a été finalement détruite en 1966.
Ce document audiovisuel, mis à disposition par l’INA, donne la parole à Jeanne Barraud, ancienne employée de maison, qui se remémore la vie quotidienne dans cette villa et déplore sa démolition.
Claire et Laurent sont sur un bateau
Passer entre les cabanes
La météo marine en boucle sur le canal VHF 63
Depuis fin avril 2016, les marins du Bassin peuvent accéder à la diffusion en boucle du bulletin météo marine « de l’Anse de l’Aiguillon à la frontière espagnole » sur le canal VHF 63.
Si vous tombez sur un blanc, attendez quelques minutes le départ de la séquence.
Plus la peine de se mettre un rappel à 07:33, 16:03 et 19:33 pour capter le bulletins du CROSS Etel sur le canal 79. La diffusion du sémaphore sur le canal 63 est continue, 24/24, 7/7.
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Risées, clapot et RV sur l’eau
Ce dimanche de Pentecôte, enfin, un vent d’ouest – nord est normal. Belle occasion de passer la pleine mer sur l’eau.
Avec la marée, remonter le chenal de Piquey puis d’Arès, jusqu’à Hautebelle, en face de Claouey. Croiser la pinasse de Claouey La Légeote, sous 1 ris. Faire demi-tour jusqu’à la pointe de Graouères et embouquer le chenal de l’île au vent arrière. Le vent forcit, avec des rafales à 20 nds. L’Iboga porte toute sa toile. Anticiper le bord de travers qui arrive. Laisser la pointe du Congre à tribord et faire cap au sud ; prendre un ris dans la GV. Ça calme la bête. Choisir le chenal de Cousse. Croiser là une flottille de bateaux traditionnels — bacs à voile, canots mixtes, autres embarcations aux gréements auriques… un peu malmenés par les risées. Nombreux d’ailleurs sont au moteur. Apparement ils ont RV aux cabanes. Puis traverser le Teychan devant le port d’Arcachon. Hésiter à aller mouiller à l’abris du vent, dans la Canalette, derrière l’Aiguillon, mais choisir de remonter un peu pour mouiller sur le banc du Tès. Il est 13:30. Plus de 3 h de nave sportive en solo. Continue reading
Les portugaises ensablées d’Arguin
Une marée qui commence tôt : 09:30 au bateau.
Bon vent, encore de l’est. Bizarre.
Après une volte devant les Américains, cap à Arguin.
Le banc a bien changé cet hiver : la conche habituelle est méconnaissable. Je pose le bateau dans l’estey ensablé, tandis que la marée continue de baisser.
Ensablé, ce n’est rien de le dire : peut être 2 hectares de parcs à huitre ont disparu sous 1,5 m de sable ! Seuls les pignots dépassent… Une grande partie des parcs restants sont recouverts d’une chape de moules. Chantiers à l’abandon… Apparemment, l’hiver n’a pas ménagé les parqueurs. Continue reading
Petit aller retour Ferret – Piraillan pour la fin de journée
On est arrivé un peu tard de Bordeaux pour profiter de l’embouteillage monstre qui a retenu jusqu’à 3 heures durant ceux qui voulaient profiter du premier jour de chaleur de l’année et du WE de 4 jours. Bah, nous on a eu seulement 20 min de retenue à Martignas puis 1/2 h à l’entrée de la presqu’île… Du coup on est arrivé, Manou et moi, encore assez tôt pour embarquer sur l’annexe (en se mouillant les fesses à cause du ressac), rallier l’Iboga et profiter d’une petite marée haute. Continue reading
De la pointe au Canon
Ce dimanche matin, petit coef, dans les 50, et vent annoncé pour 3 forcissant 4 sous ciel bas. PM de 14:20.
Peinture, mise à l’eau, armement et convoyage sur un bassin tout nu
Décidément, je suis à fond : je suis sous le bateau pour lui passer sa couche de peinture 2 jours plus tôt que l’an dernier. Pourtant, ça caille — peut-être 8° — les averses sont encore fréquentes, le sol est mouillé… Mais dès 10:00 ce samedi 5 mars, je suis à pied d’œuvre au chantier.
À part quelques cracoys résiduels, la coque est prête à peindre (bien sûr j’aurais pu combler puis poncer quelques rayures et accrocs les plus profonds, mais je n’ai pas le temps là).
Cette année, c’est de l’antifouling bleu, matrice dure je pense, contrairement à mes habitudes de matrice mixte, semi-érodable. On verra en fin de saison. Aussi, le masquage quelques millimètres au dessus de la ligne de flottaison, pour éviter la colonie d’herbe à la jointure de la nouvelle peinture de coque.
À 13:00, fin de la peinture, le masquage est décollé. Il est temps de casser la croûte.