Ça ne sera pas une vraie nouveauté pour les spécialistes de la ludification (blink:@z3zone), mais peut-être intéressant pour les autres.
Découverts au travers du retour d’expérience du programme DMA Friends, du Dallas Museum of Art, ces formats standardisés de badges, ou de crédits, que des utilisateurs peuvent collecter au travers de règles, et valoriser comme contre valeurs…
Les visiteurs inscrits dans le programme collectent des badges, en saisissant des « codes d’activité » au fur à mesure de leur activité dans le musée. On entre le code soit sur les kiosques interactifs (des iPads) soit depuis son mobile en envoyant un SMS. Chaque badge correspond à une série d’actions à accomplir.
Certains de mes lecteurs le savent : WordPress est le CMS1 avec lequel j’ai acquis une certaine habileté pour construire des sites Web. Mes propres sites — Chroniques de l’Iboga, en ligne depuis 1999 et le présent e-Moleskine — me servant de laboratoire, de bac à sable pour l’apprentissage du développement de templates, du déploiement des nouvelles versions de WordPress, d’intégration de plugins… Le côté « bricolage » que j’aime bien, avec WordPress, en plus de ses qualités intrinsèques.
Le contexte, c’est que je fais une grosse refonte sanitaro-ergonomique de mon vieux blog ; alors j’ai fait une nouvelle installation d’un WordPress 2.9 tout propre, dedans j’ai importé les articles, pages, tags, catégories, en passant par la fonction export-import XML standard. Mais le problème, c’est que WordPress n’exporte pas les liens dans ce fichier.
Or, comme je suis un blogueur sociable (membre actif du web sociable), j’ai plein d’amis dans la blogosphère, et dans la vraie vie aussi, plein d’amis blogueurs. Et tous ces liens, je les ai classés dans des catégories, je les ai commentés et qualifiés.
L’objectif, c’est donc de migrer les liens de mon ancien site, organisés avec leurs catégories, pour les avoir tels quels dans le nouveau site. Sans être obligé de recréer les catégories, ni encore moins les liens !
Mais ça a un peu vieilli… Surtout que le plugin TwitterTools s’est mis à ne plus récupérer mes tweets quotidiens : je crains pour ma mémoire…
J’avais été épaté par l’esthétique de Swurl, mais il avait fini par fermer…
Ce qui me semble important maintenant, c’est que le lifelog soit indépendant ; je veux dire, que si un service vient à fermer /muter (friendfeed, par exemple) ou à effacer mon historique (twitter par exemple) et bien j’aie une copie chronologique de mes traces.
A la recherche d’une base saine et simple pour une intégration très custom de WordPress (nous en reparlerons) j’ai jeté mon dévolu sur le thème Sandbox.
Mais voilà, la traduction française par Mederel s’était arrêtée à la version 1.3.
Alors j’ai pris le parti de me fader la traduction de la version actuelle 1.6.
Pas trop dur : Sandbox est gettexisé donc prêt pour intégrer les localisations à partir du fichier sandbox.pot fourni, je connais assez bien WordPress maintenant pour savoir par coeur le contexte d’apparition des chaînes de caractères, et le thème ne comporte que 83 lignes.
Mise à jour du 22 avril 2021 : Feedburner réduit ses services en juillet 2021 mais ça faisait belle lurette que je ne faisais plus de pub pour l’abonnement e-mail au flux, d’où l’insignifiance du « nombre » d’abonnés.
Mon compte Feedburner au 22 avril 2021
(Fin de la mise à jour)
FeedBurner
Pour suivre les statistiques de consultation de mon blog, j’emploie Analytics (Google) ou Xiti. Mais de base, rien n’est prévu pour suivre les statistiques de lecture par les abonnés au flux RSS du blog. Précisément, c’est le service que rend FeedBurner : en détournant l’adresse de son flux RSS vers FeedBurner, il est possible (entre autres) de savoir combien de personnes sont abonnées aux nouveaux articles du blog, et à chaque article, combien ont cliqué pour venir le lire.
Or FeedBurner a été acheté pr Google en juin 2007 et l’intégration est en marche.
J’avais ainsi vaguement entendu dire qu’il était question d’une migration des flux.
Le buzz commençait à buzzer dans la buzzosphère.
Et puis, une migration avant fin février.
Il était temps de me pencher sur la question.
Voilà pourquoi, hier, je me suis rendu sur mon compte feedburner (je n’y vais jamais…)
A l’accueil, il m’a demandé si je voulais bien procéder à la migration obligatoire.
J’ai souscrit.
Il a fait des trucs.
A l’arrivée, il m’a donnée le résultat + un mail de confirmation.
WP-FacebookConnect adds Facebook functionality to WordPress using the Facebook Connect APIs. It provides single sign-on, avatars, and News Feed publication of comments.
Je suis perplexe sur la multiplication des API transversales : j’avais Gravatar ou MyBlogLog (y commence à sentir la poussière, le truc de geek qui vieillit mal…) pour simplement reconnaître le visiteur-commenteur. Je n’avais pour le moment pas envisagé de créer des comptes sur ma plateforme WordPress à mes commenteurs mais, pourquoi pas… ? Comment ça s’articule avec Google Friend Connect (que j’ai laissé les autres essuyer les plâtres) ?