Forrester What People are doing? Social Web infographics"Souvent amené à dégrossir pour mes clients les usages des médias sociaux, je m’appuie sur la très pratique catégorisation mise au point par le cabinet Forrester Research. Son infographie de l’échelle des usages des technologies du Web social « What People are doing? » que j’avais trouvée sur Bloomberg Businessweek en 2007 est très esthétique et parlante.
Elle permet d’aborder les niveaux d’usages, qui sont valables partout, et de pointer les différences générationnelles. Mais elle oblige à relativiser : il ne s’agit que du public des États-Unis disposant d’une connexion internet. Difficile d’extrapoler valablement pour le marché français… Et puis… 2007, quoi : la préhistoire. Tumblr venait de se lancer…
En ce moment, je suis un peu sensible à cette question : l’ergonomie du processus d’ouverture de compte sur une application (web). En effet, comme consultant AMOA1 auprès de Cap Sciences pour le développement de son dispositif de visites interactives personnalisées Navinum, j’ai été amené à conseiller mon client à propos du design de cette fonctionnalité. Une difficulté ayant été que les écrans d’inscription seront utilisés soit sur des bornes d’accueil numériques en entrée d’expo, soit sur le site Web de l’expo… Mais j’aurai l’occasion de rapporter ici cette enrichissante expérience auprès de Cap Sciences.
AMOA : assistance à maîtrise d’ouvrage ; terme emprunté au secteur du BTP par l’informatique, qui signifie : celui qui aide le donneur d’ordre, le client, le commanditaire d’une prestation, le maître d’ouvrage, quoi, dans diverses fonctions et tâches relatives au projet, fonctions dans lesquelles il ne possède pas les compétences ou les ressources en interne. ↩
Brasses ? C’est pas que je nage, c’est juste que mes premiers pas dans l’open data se sont passés sur l’eau. Marcher sur l’eau ? No way. Nager, brasses, OK. Le contexte, c’est une table ronde sur la libération des données envisagée par la Lyonnaise des Eaux, à Bordeaux, dans le sillage de son délégataire : la communauté urbaine (CUB).
À l’occasion de ma participation à notre opération #hackinum, pour la promotion des professionnels bordelais du numérique, à la Cantine, je me suis rendu compte que le samedi suivant se tenait le TEDx Paris.
Aubaine ! Je veux une place.
Las. Je déchante fissa : les 1000 places de l’espace Cardin ont été écoulées en 1 heure le jour de leur mise en vente. Même pour le suivre en ligne il faut s’inscrire ! Paris me fait toujours le même coup : chaque fois que je me décide à aller voir quelque chose, spectacle, exposition, je refais l’expérience de la sinistre réalité : les organisateurs n’ont pas mis une place de côté pour moi. Ils m’ont même refait le coup avec l’expo Basquiat :-(
Enfin, je passe les péripéties mais avec l’aide de mes amis sur Twitter, je rachète au vol la place que le blogueur Nantais Simon Robic avait réservée.
C’est parti me dit-on d’une bravade, un jour de décembre à Bègles paraît-il, où les camarades de Silicon Sentier étaient venus présenter leur concept d’espace public de co-working en province, à l’invitation de la communauté urbaine de Bordeaux. C’est qu’avec La Cantine, nos collègues parisiens ont démontré tout l’intérêt de tels services.
La Cantine ? Tout près du métro Grands-Boulevards, dans un agréable passage entre 2 immeubles, une vitrine. Derrière la vitrine, un comptoir de bar, un tableau ardoise, un espace de réunion, un salon, une autre salle de réunion, un escalier qui mène à… et tout ça dans une ambiance très cool, très connectée, très vidéoprojeté…
Certains de mes lecteurs le savent : WordPress est le CMS1 avec lequel j’ai acquis une certaine habileté pour construire des sites Web. Mes propres sites — Chroniques de l’Iboga, en ligne depuis 1999 et le présent e-Moleskine — me servant de laboratoire, de bac à sable pour l’apprentissage du développement de templates, du déploiement des nouvelles versions de WordPress, d’intégration de plugins… Le côté « bricolage » que j’aime bien, avec WordPress, en plus de ses qualités intrinsèques.
Noter — surtout — le logo, une création du studio JFD Design (merci, Jef !) sur un brief totalement improbable et étique1 (alors, en plus, bravo, Jef ;-) pour BX France. Décembre 2010.
Attention, les noms de domaines ne sont pas actifs mais le contenu ne présente encore aucun intérêt. Stay tuned…
Il y a à peine 3 ans, j’essayais Tumblr et je l’abandonnais aussitôt, il faut dire, pour un besoin bien particulier. Pourtant, depuis un an, je m’intéresse de plus en plus à ce service qui monte en flèche.
Pour citer le dernier billet sur Tumblr de Marshall Kirkpatrick (@ marshallk) dans Read Write Web : 48.5 millions de visiteurs uniques chaque mois, 11 millions de blogs publiés, 3 milliards de pages vues / mois. Ça donne un peu le vertige mais faut pas se laisser impressionner.
Réservez le mémento Sites Web – Les bonnes pratiques, 7 € sur Amazon
Je reçois au courrier cette semaine en avant première la 3e édition du mémento « Sites web, les bonnes pratiques ». Merci Élie ;-) Je connais bien ces règles pour avoir suivi avec intérêt le projet Opquast, et pour avoir consolidé grâce à elles mes propres pratiques professionnelles pour le plus grand bénéfice de mes clients.
Le mémento parait donc chez Eyrolles cette fin octobre 2010. Véritable concentré de méthodologie, ces 217 règles concernent les développeurs, designers et graphistes, administrateurs de sites, mais aussi les éditeurs de contenus, les e-commerçants et les webmarketers soucieux de proposer aux internautes un site : – visible, référencé ; – conforme aux standards ; – accessible, ergonomique, utilisable; – produisant du sens ou du service.
Initiée en 2003 par Elie Sloïm et son compère chez Temesis, Fabrice Bonny, cette œuvre de compilation et de qualification des bonnes pratiques Web a bénéficié d’une forte participation de la communauté des professionnels du Web qui en ont fait un standard. Ce référentiel Opquast (Open Quality Standards – lire les fondements d’Opquast) est fourni sous licence Creative Commons CC-BY-SA, ce qui signifie
Carte heuristique – diagramme qui représente les connexions sémantiques entre différentes idées et les liens hiérarchiques entre différents concepts intellectuels – également connu sous le nom de Mind Mapping ou « carte mentale ».
J’ai moi même découvert le mind mapping tardivement, en mars 2008, à l’occasion de l’opération MindManager 7 offert aux blogueurs par MindJet. Je me suis donc initié en autodidacte avec Mindmanager 7 Mac.
Evidement, j’ai très vite accroché et rapidement, je n’ai plus su me passer de faire des cartes pour tout.