Dans cette section, les choses que j’ai à vendre. Ils ont fini de me servir, ils m’encombrent, je les mets en vente ici et sur e-bay ou autres sites d’annonces ; quand je pourrai mettre le lien, ce sera la « landing page » de ces offres. Ce sera mon e-vide grenier permanent, petites annonces de fxbodin @ particulier, bonnes affaires j’espère pour vous, mais autrement je ne les mettrais pas en vente… Enlèvement possible à Bordeaux ou sur le Bassin d’Arcachon, autrement, expédition sur toute la France sur frais réels. Abonnement rss obligatoire pour être tenu informé…
C’était bien sympa cette soirée des blogueurs et blogueuses bordelais. pas vraiment « dance », en dépit de la prestation d’un groupe de rock euh, j’ai oublié exactement, mais sympa. Mais, un pub aux Chartrons, ce n’est pas un hangar quai de Paludate, c’est plus lounge, avec le poêle à bois, le billard, le piano, la tireuse à bière king-size et son patron flegmatique… et tous ces blogueurs et blogeuses qui tchatchaient en live, sans webcam, sans clavier…
Un oeil neuf sur les mains sales
Sans plus de suspense, je dévoile que cette note ne parle pas de Jean-Paul Sartres ni de ses oeuvres. Maintenant je dois m’expliquer, poser le contexte : brocante, vide-greniers, salles de ventes, expo avant enchères, malles au trésor… et, là, selon votre tempérament, survol visuel nonchalant jusqu’au point d’interrogation qui fait tendre un index pour écarter et dévoiler, laisser tomber et passer au cageot suivant…
Go-Référencement.org décide de remettre le « DoFollow » à tous ses liens
C’est au moins la 3e fois en 1 semaine que j’entends ce son de cloche, et, tenez, pas plus tard que tout à l’heure : 11 Reasons against nofollow
Il y a même, et ça n’est pas récent, des plugins pour WordPress spécialement pour contourner l’attribut nofollow inséré par défaut avant les URL présentes dans les commentaires. Dofollow, LinkLove, goodLinks… un article de Andy Beard en publie une liste.
Rendez-vous des blogueurs bordelais
C’est le 23 février 2007, 20:00, à l’Avant-Scène, rue Borie (quartier des Chartrons).
Ca s’appelle « la République des pintes », alors on y boira des bières et faisant connaissance.
Il devrait y avoir des gens biens…
En tout cas j’ai prévu d’y aller.
Inscription sur ce blog
J’adore : un e-miroir.
— E-miroir, joli miroir dis moi que je suis le plus… euh, un peu connu sur la blogosphère…
— Tu est très connu, François-Xavier, mais Loïc le Meur est beaucoup plus connu que toa…
— QUOI !? Mais si ça se trouve il ne s’est même pas encore mesuré l’EgoSurf ! Comment tu peux dire ça ? Sale machine !
— Bah, j’aurais même pu dire la même chose de Fred Cavazza ou de François Goube… Finalement, tu n’as même que 3787 sur Google, alors…
— Bon, ça va, ça ca, allons pour 4214. De toutes façons, c’est déjà 6 fois moins que le top EgoSurf (au 30/01/2007) qui dépasse les 24K !
Dans son blog, Le perfologue, Alain Fernandez nous rassure : Un tableau de bord, ce n’est pas bien compliqué à réaliser. Ah, bien tant mieux ! Parce que je commencais à être inquiet.
Moi qui croyait autrefois comme lui, que l’essentiel était de choisir des indicateurs pertinents, mesurables, acceptables… en partant de la réflexion stratégique, en visant des objectifs de progrès, en consultant les décideurs futurs utilisateurs et en structurant, in fine, une réponse technique adéquate, favorisant les prises de décision.
Encore un truc un peu facile
La traduction automatisée. Quand, vraiment on a besoin (ce satané fournisseur slovène ! cet idiomatisme anglais intraduisible…), ça peut aider. OK. Mais pour valider un système de traduction automatisé, je pense qu’il faut qu’il soit pertinent en thème comme en version. Non ? C’est là que ça devient rigolo…
La valse des étiquettes
En cette période de soldes, un article bien à propos, dans TechCrunch en français : Google Tags ou Labels?. Ouriel, reprenant et annotant Michael, nous interpelle sur l’emploi « inconsistant » des termes « tags » et « labels » par google.
Qui protège notre identité numérique ?
Dans un contexte technologique favorable : numérisation de nombreuses activités sociales et privées, multiplication des actes électroniques, interconnexions de fichiers, puces RFID… – la prise de contrôle de notre identité numérique par les différents « pouvoirs » qui y ont intérêt représente une véritable menace.