Yann Leroux1, digiborigène2 prolixe et analyste de l’activité numérique de ses contemporains, écrit dans un récent article de son blog ePsychologie Tout le monde peut écrire.
Il rappelle là que les nouvelles technologies ont considérablement facilité l’édition de l’information (de la pensée…), qu’avec l’Internet le “tout le monde peut écrire” on a même pu penser que “tout le monde est un auteur”, mais que nous ne sommes pas tous égaux devant l’écriture, avant de poser la question d’une différence de nature, du point de vue de l’écriture, entre le média papier et le média électronique.
Son analyse réveille une réflexion qui me titille depuis des années numériques.
En bref, avec l’avènement de la quasi gratuité des coûts de publication, qui a créé le « tout le monde peut… » il y a la dimension de la motivation (pourquoi ? l’opportunité, les motifs etc.) et la dimension de la compétence (comment ? est-ce que j’écris bien ou pas bien ? etc.)
Digiborigènes, l’autre blog de Yann Leroux ↩